Toutevérité n'est pas bonne à dire Mon titre est déjà une prise de position, bien que l'affaire Wikileaks divise nos contemporains entre ceux qui approuvent les révélations de certains journaux et ceux qui, comme moi, s'affligent d'une telle initiative. Depuis dimanche dernier, en effet, cinq grands titres de la presse internationale ont commencé à publier des documents
Skip to content J’ai encore beaucoup à vous dire, mais vous ne pouvez pas le porter à présent » nous dit Jésus Jn 16, 12-15… … Et nous qui avons largué les amarres, hissé bien haut les voiles de notre Foi sous le souffle de la Pentecôte, que faisons-nous maintenant, au milieu de l’océan de notre vie ? Jésus semble plutôt être pour une certaine réserve. Veut-Il nous épargner car immatures ? N’est-Il pas francs avec ses disciples d’hier et d’aujourd’hui ou bien est-Il d’une patience pleine d’égards vis à vis d’eux ? C’est une question que nous pouvons nous poser dans notre vie quotidienne. Jusqu’où pouvons-nous tout dire ? Quand devons-nous nous ménager les uns les autres ? Faut-il être d’une franchise impitoyable ? Comme toujours, la règle ne peut être qu’amour et charité. Jésus n’a pas tout dit à ses disciples et prend des précautions. Il leur dit ce qu’ils peuvent supporter à l’instant. Il faut du temps pour comprendre, faire ses propres expériences. Le Encore beaucoup à vous dire » interroge chacun d’entre nous aujourd’hui. C’est ainsi que nous ne connaissons pas l’avenir… et c’est heureux, car serions-nous capables de gérer au mieux ce qui nous attend ? Mais quand Il viendra, Lui, l’Esprit de vérité, Il vous guidera dans la vérité tout entière… » Sauvés ! Nous voilà munis d’une boussole intérieure ! Écoutons cette voix par laquelle Dieu nous conduit pas à pas, en toute sécurité. Soyons sensibles aux petits signes de l’Esprit et nous acquerrons plus de confiance, d’espérance, d’assurance … Alors, à notre tour, nous prendrons des précautions vis-à-vis des autres quant à ce que nous pouvons leur dire, sans présumer de leurs forces. D’après un commentaire d’évangile du Cardinal Schönborn, Archevêque de Vienne . En cette année de la miséricorde, que les dons de l’Esprit-Saint soient notre force pour être des navigateurs au long cours ! Heureux les doux car ils posséderont la terre »
Définitionssupplémentaires pour 'toute vérité n'est pas bonne à dire': toute vérité n'est pas bonne à dire: All truths are not to be spoken at all times. Les voir tous » Traduction Trouver une traduction pour le toute vérité n'est pas bonne à dire phrase dans d'autres langues: all truth is not good to say. Sélectionnez une autre langue: - Select - 简体中文 (Chinese
Voilà un proverbe bien connu, qui devrait balayer rapidement les doutes que l’on pourrait naturellement avoir en certaines circonstances … Le dire vrai est dangereux ». Pourtant, dire la vérité n’est-ce pas être honnête avec les autres ? Dire la vérité plutôt que mentir ; dire la vérité plutôt que de paraître hypocrite ; dire la vérité plutôt que choisir son côté obscur, la manipulation… Oh oui, quelle vertu que celle d’être franc et authentique ! Note de l’auteur enfin, … note de moi J’arrête immédiatement les esprits brillants, adeptes des parallèles saisissants. Non ! Loin de moi l’idée d’illustrer dans ce billet d’humeur l’actualité française dont on nous rabat les oreilles. Mon propos tutoie des hauteurs que la politique ne saurait atteindre … Déjà dans la Bible – c’est dire – , le décalogue semble tout à fait clair à propos de la Vérité et du mensonge. On nous enseigne depuis si longtemps la nécessité de dire la vérité, que l’on pourrait croire que le mensonge est l’une des pires inclinations du genre humain. Qui sait, peut-être même est-ce son drame absolu. À moins que … À moins que toute vérité ne soit pas bonne à dire tout simplement parce que le problème est qu’une vérité pour l’un n’est peut-être pas celle de l’autre ; parce que ce qui peut paraître la vérité est biaisée par des filtres et des croyances propres à chacun. Ainsi, il pourrait n’être pas certain que notre vérité soit la réalité. Et somme toute, le réel n’est-il pas le pire ennemi de la pensée humaine ? À chacun son monde pourrait-on alors dire… Mais trêve de ces considérations altières, retour à des réflexions plus terre à terre – bah mince, voilà maintenant que j’écris des alexandrins ! – pour que les relations sociales soient harmonieuses, il vaut mieux user de tirades judicieuses – et hop, un autre alexandrin ! je vais finir par rendre jaloux mon compère Didier Regard – enfin, vous l’avez sûrement compris, dans bien des cas tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de dire ce que l’on pense peut éviter bien des tracas. Cela s’appelle l’inhibition sociale ». Mais jusqu’où faut-il se retenir ? Jusqu’où faut-il se perdre soi-même ? Il faut bien se l’avouer, la frontière est ténue. Alors, soyons honnêtes ! Si en de nombreuses circonstances on observe de la retenue, c’est pour des raisons bien précises – En se comportant ainsi, certains ne cherchent qu’à avoir la paix. En évitant l’impolitesse ou l’agressivité, aucun risque de choquer son interlocuteur et aucune crainte d’être exposé à des retours de flammes ravageurs. À moins, j’y pense tout à coup, qu’il ne s’agisse simplement de gens gentils … Si, si, il en existe. – D’autres, dans une démarche plus ou moins consciente cherchent à conforter l’estime de soi à travers l’approbation des autres. Ah, que ne ferait-on pour trouver un peu de confiance en soi ! – Et puis chez d’autres encore, cette attitude libère une éventuelle peur de voir compromise la quête de leur graal et/ou l’appauvrissement de leurs relations amicales… Encore que, dans ce dernier cas, il faut grandement se méfier des soirées arrosées entre amis. Et oui, comme chacun sait, l’alcool est un désinhibeur puissant pour celui qui ne serait entraîné ! Il parait même qu’en la matière, grâce à ses bulles accélératrices de la circulation de l’alcool dans le sang, le champagne est le meilleur breuvage qui soit. Waouh ! Et bien moi, je dis que la vie est trop courte pour être triste et inhibée Tournée générale et champagne pour tout le monde ! Le sujet vous semble trop sérieux pour picoler ? Pour lire l’article de Fanget Frédéric, De l’inhibition sociale à l’anxiété sociale », Le Journal des psychologues, 1/2007 n° 244, p. 24-28, Cliquez ici ***** Et toujours, linspiration de Didier Regard Penché Sur la Vérité J’ai failli tomber Dans le puits sans fond D’un arbitraire sans leçon D’un souvenir à ma façon L’interrogation ? La mienne, la tienne, c’est la question Surtout pas celles des cons !!! … … Découvrez la suite et tous les tercets de Didier Regard … Et lisez tous ses poèmes ***** Entrez dans mon univers en cliquant sur les différents onglets en haut de cette page, et découvrirez des nouvelles et des romans, les poèmes de Didier Regard, et aussi les chansons de Marie. Aimez, commentez et partagez sans modération, et surtout, abonnez-vous pour ne pas rater les prochains billets ! *** Contenu Launayblog sous Copyright déposé auprès de

Encette période de fêtes de fin d'année, n'oublions pas que dans peu de temps, nous n'aurons même plus de pays. Et que si nous sommes le dernier peuple à re

Par Si Fan, Corée du Sud Quand j’ai commencé à croire en Dieu, je recherchais avec enthousiasme. Quel que soit le devoir que l’Église arrangeait pour moi, j’obéissais. Quand je rencontrais des difficultés dans mon devoir, j’étais aussi capable de souffrir et de payer le prix sans me plaindre. Peu après, j’ai commencé à pratiquer l’abreuvement des nouveaux venus, et j’ai été régulièrement promue. J’avais l’impression d’être douée, quelqu’un que la maison de Dieu cultivait, et de rechercher plus que d’autres. Alors je pensais que tant que je travaillerais dur, on m’accorderait des promotions et on me donnerait des rôles importants. Quand j’y songeais, ça me rendait très fière. Plus tard, j’ai vu beaucoup de frères et sœurs de mon âge accomplir des devoirs importants, comme dirigeants d’équipes et superviseurs, et je les ai enviés. J’ai pensé S’ils ont des devoirs aussi importants alors qu’ils sont si jeunes, s’ils sont estimés par les dirigeants et admirés par les frères et sœurs, je ne peux pas me satisfaire du statu quo. Je dois bien rechercher et m’efforcer de faire de grands progrès dans mon devoir pour avoir un rôle important, moi aussi. » Alors j’ai travaillé encore plus dur dans mon devoir. J’étais prête à veiller tard et à souffrir. Quand j’avais des problèmes dans mon devoir, je cherchais des paroles de Dieu pour les résoudre. Mais mes efforts n’ont produit aucun changement. Parce que mes aptitudes au travail étaient médiocres, on m’a confié un travail routinier. Après ça, quand je voyais d’autres être promus, je les ai encore plus enviés. Je savais que je ne les valais pas, alors je m’encourageais en me disant Je ne dois pas me décourager ni me satisfaire du statu quo. Je dois chercher et progresser. Je dois lire davantage la parole de Dieu et consacrer plus d’effort à mon entrée dans la vie. Quand mes compétences professionnelles se seront améliorées et que j’aurai progressé en entrée dans la vie, je serai promue. » Alors, tout en travaillant dur pour progresser, j’étais impatiente d’être promue. Deux ans se sont écoulés en un clin d’œil et mes partenaires n’ont pas cessé d’aller et venir. Certains ont été promus, et certains sont devenus des dirigeants et des ouvriers. J’ai commencé à m’interroger Je fais ce devoir depuis un bon moment et ceux qui le font depuis moins longtemps sont promus, alors pourquoi mon devoir n’a-t-il pas changé du tout ? Les dirigeants pensent-ils que je ne mérite pas d’être cultivée et que je ne suis bonne qu’à faire un travail routinier ? N’ai-je aucune chance d’être promue ? Resterai-je coincée dans ce devoir obscur à tout jamais ? » Quand j’y ai songé, j’ai été comme un ballon qui se dégonfle. Je n’ai plus été aussi assidue dans mon devoir et les choses qu’il fallait faire ne m’ont plus semblé urgentes. Je travaillais de manière mécanique tous les jours ou je faisais dans l’à-peu-près jusqu’à ce que je puisse dire que mes tâches étaient accomplies. Du coup, des déviations et des oublis sont apparus dans mon travail, mais je ne l’ai pas pris au sérieux et je n’ai pas réfléchi sur moi-même. Plus tard, j’ai appris que d’autres frères et sœurs que je connaissais avaient été promus et j’ai été encore plus déprimée. J’ai pensé Certains d’entre eux faisaient le même devoir que moi et ils ont été promus, alors que j’en suis toujours au même point. Je ne suis peut-être pas quelqu’un qui cherche la vérité ou qui mérite qu’on le cultive. » Cette pensée, qui était comme un énorme poids sur mes épaules, me rendait malheureuse. À cette période, j’étais très déprimée et démotivée dans mon devoir. J’avais l’impression de n’avoir aucun avenir dans ma foi en Dieu. Je me pensais lésée et je ne pouvais pas l’accepter. Je me disais Suis-je vraiment aussi mauvaise ? Ne suis-je vraiment bonne qu’à accomplir un travail routinier ? N’y a-t-il aucun intérêt à me cultiver ? Je veux juste une chance. Pourquoi faut-il que je reste coincée dans un coin, là où personne ne me remarque ? » Plus j’y pensais, plus je me sentais lésée. Je soupirais toute la journée et je n’avais pas la force de bouger. Pendant cette période, je pleurais en silence le soir, dans mon lit, en me disant Si mes compétences professionnelles ne valent pas celles des autres, alors je travaillerai dur pour chercher la vérité. Je lirai davantage les paroles de Dieu et me concentrerai plus sur l’entrée dans la vie. Si j’arrive un jour à échanger avec des connaissances concrètes, les dirigeants ne verront-ils pas que je cherche la vérité et ne m’accorderont-il pas une promotion ? » Mais je me sentais aussi un peu coupable quand je pensais ça. Chercher la vérité est une chose positive, ce qu’un croyant doit faire, or je m’en servais dans le but de m’élever au-dessus des autres. Si je cherchais de cette manière, par désir et ambition, Dieu ne le détesterait-Il pas ? Pourquoi n’étais-je pas satisfaite de faire mon devoir dans l’ombre ? Comme je me sentais très coupable, j’ai prié Dieu en pleurant Ô Dieu, je sais que ma recherche du statut est mauvaise, mais mes ambitions et mes désirs sont trop forts. J’ai toujours l’impression qu’il est inutile que j’accomplisse mon devoir dans l’ombre. Ô Dieu, je n’arrive pas à sortir de cet état. S’il Te plaît, guide-moi pour que je comprenne Ta volonté et me connaisse. » Après avoir prié, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu. Pour les antéchrists, le statut et le prestige sont leur vie. Peu importe comment ils vivent, peu importe l’environnement dans lequel ils vivent, leur travail, ce pour quoi ils luttent, leurs objectifs, la direction de leur vie, tout tourne autour d’une bonne réputation et d’un poste élevé. Et ce but ne change pas ils ne peuvent jamais le mettre de côté. C’est là le vrai visage des antéchrists et leur essence. Vous pourriez les mettre dans une forêt vierge au fond des montagnes, et ils ne mettraient toujours pas de côté leur poursuite du statut et du prestige. Vous pouvez les mettre dans n’importe quel groupe de gens, et tout ce à quoi ils pourront penser, ce seront toujours le statut et le prestige. Bien que les antéchrists croient aussi en Dieu, ils voient la poursuite du statut et du prestige comme équivalente à la foi en Dieu et lui accorde le même poids. C’est-à-dire qu’en marchant sur le chemin de la foi en Dieu, ils poursuivent aussi leur propre statut et leur propre prestige. On peut dire qu’au fond d’eux-mêmes, les antéchrists croient que la foi en Dieu et la poursuite de la vérité sont la poursuite du statut et du prestige ; la poursuite du statut et du prestige est aussi la poursuite de la vérité, et obtenir un statut et du prestige, c’est gagner la vérité et la vie. S’ils sentent qu’ils n’ont aucun prestige et aucun statut, que personne ne les admire, ne les vénère ni ne les suit, alors ils sont très frustrés, ils croient qu’il n’y a aucun intérêt à croire en Dieu, aucune valeur à cela, et ils se disent “Une telle foi en Dieu est-elle un échec ? Est-ce sans espoir ?” Ils réfléchissent souvent à de telles choses dans leur cœur, ils réfléchissent à la façon dont ils peuvent se tailler une place dans la maison de Dieu et avoir une haute réputation dans l’Église, afin que les gens écoutent quand ils parlent, les soutiennent quand ils agissent et les suivent partout où ils vont afin qu’ils aient une voix dans l’Église, une réputation, afin qu’ils jouissent d’avantages et aient un statut ils réfléchissent souvent à de telles choses. C’est là ce que ces gens poursuivent » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antéchrists. Pour un antéchrist, si on attaque sa réputation ou son statut ou si on lui en prive, c’est une chose encore plus grave que d’essayer de lui ôter la vie. Il aura beau écouter quantité de sermons ou lire quantité de paroles de Dieu, il n’éprouvera ni tristesse ni regret de n’avoir jamais pratiqué la vérité et d’avoir emprunté le chemin de l’antéchrist, et de posséder la nature et l’essence d’un antéchrist. Au contraire, il se creuse en permanence les méninges pour trouver une manière d’obtenir un statut et d’accroître sa réputation. […] Dans sa constante poursuite de réputation et de statut, il nie aussi effrontément ce que Dieu a fait. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Au plus profond de lui, l’antéchrist croit “Toute réputation et tout statut se gagnent par les gens eux-mêmes. Ce n’est qu’en s’implantant fermement parmi les gens et en gagnant une réputation et un statut qu’ils peuvent profiter des bénédictions de Dieu. La vie n’a de valeur que lorsque les gens acquièrent un pouvoir et un statut absolus. Voilà la seule vie humaine digne de ce nom. Dans le cas contraire, ce serait lâche de vivre en étant soumis – comme dans la parole de Dieu – à la souveraineté de Dieu et à Ses arrangements en toute chose, pour occuper, de bonne grâce, la place de la création et vivre comme quelqu’un de normal ; personne n’admirerait quelqu’un comme ça. C’est par ses propres combats que l’on doit gagner son statut, sa réputation et son bonheur ; on doit se battre pour eux et s’en emparer avec une attitude positive et active. Personne d’autre ne te les donnera attendre passivement ne peut que conduire à l’échec.” Voilà comment raisonne l’antéchrist. Tel est le tempérament des antéchrists. Si vous espérez qu’un antéchrist acceptera la vérité, admettra ses erreurs et montrera une repentance sincère, c’est impossible il ne peut absolument pas le faire » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antéchrists. Lire cette parole de Dieu m’a transpercé le cœur. Dieu révélait que les antéchrists accordaient plus d’importance au statut qu’à la vie. Tout ce qu’ils disent et font tourne autour du statut, ils ne songent qu’à le gagner et le conserver. Quand ils perdent leur statut, ils perdent l’envie de vivre. Pour le statut, ils sont capables de résister à Dieu, de Le trahir et de fonder leurs propres royaumes. J’ai pris conscience que j’avais toujours estimé le statut très important. Quand j’étais enfant, mes proches m’avaient enseigné des choses comme Sans effort, pas de réconfort » et L’homme cherche à s’élever ; l’eau coule vers l’aval ». J’avais toujours considéré les lois de survie sataniques comme des dictons pleins de sagesse. Je pensais qu’une vie passée à gagner un statut et l’estime des autres était une vie digne, qui valait d’être vécue, tandis que me contenter de mon sort, rester une personne ordinaire et terre à terre prouvait que je n’avais ni ambition ni véritables buts. Je pensais que les gens de cette sorte étaient inutiles et lâches. Mes pensées et mon point de vue n’ont pas changé quand je me suis mise à croire en Dieu. En apparence, je ne luttais pas pour le statut, mais mes ambitions et désirs étaient grands. Tout ce que je voulais, c’était un devoir important, un statut élevé, pour que les autres aient une haute opinion de moi. Le fait de voir les frères et sœurs qui m’entouraient devenir dirigeants d’équipes et superviseurs n’a fait qu’attiser mon désir. Pour être promue, je m’étais levée tôt et avais veillé tard. J’avais été prête à souffrir et à payer n’importe quel prix pour mon devoir. Quand mes espoirs ont été déçus encore et encore, j’ai été remplie de plaintes et de résistance à mon environnement. J’avais même pensé qu’avoir foi en Dieu n’avait aucun intérêt et je m’étais lassée de mon devoir. Je me contentais d’agir mécaniquement et je bâclais ce que je pouvais. J’ai compris que, depuis que je croyais en Dieu, je n’avais pas du tout emprunté le chemin de la poursuite de la vérité. Tout ce que je faisais était dans l’intérêt de la renommée et du statut. En réalité, le fait d’entrer dans la maison de Dieu et d’accomplir mon devoir était une chance d’être sauvée que Dieu m’avait donnée. Dieu voulait que je cherche la vérité dans mon devoir, que je comprenne la vérité, que j’entre dans ses réalités et que j’échappe à mes tempéraments corrompus. Mais j’avais négligé ma tâche. Je ne me souciais pas de chercher la vérité, je n’aspirais qu’à obtenir un statut élevé et, quand mon désir avait été frustré, je n’avais fait que m’enfoncer. Je n’avais vraiment ni conscience ni raison ! J’ai pensé que, malgré mes années de foi, parce que je ne cherchais pas la vérité, je connaissais encore très mal mon propre tempérament corrompu. Je n’étais même pas capable de bien faire mon devoir actuel. Je faisais toujours dans l’à-peu-près et il y avait souvent des déviations et des lacunes dans mon travail. Malgré ça, je voulais être promue et avoir un travail plus important. C’était honteux ! Je n’ai compris qu’à ce moment-là que croire en Dieu sans chercher la vérité, en aspirant aveuglément au statut, me rendrait juste plus ambitieuse et plus arrogante, voulant toujours être au-dessus des autres et incapable d’obéir aux arrangements de Dieu. Rechercher ça est autodestructeur et quelque chose que Dieu hait et maudit. J’ai pensé aux antéchrists qui sont expulsés de l’Église. Ils ne cherchent pas la vérité, mais la renommée et le statut. Ils veulent toujours être admirés et respectés par les autres, les contrôler, et ils finissent par faire beaucoup de mal et être éliminés par Dieu. N’avais-je pas les mêmes objectifs qu’eux ? N’étais-je pas sur un chemin de résistance à Dieu ? Le tempérament de Dieu est juste et ne tolère aucune offense. Si je refusais de changer, je ne manquerais pas d’être rejetée et éliminée par Dieu. Cette idée à l’esprit, je me suis fait un serment. Désormais, je ne chercherais plus le statut, je me soumettrais aux arrangements de Dieu. Je chercherais la vérité et ferais mon devoir convenablement, d’une manière terre à terre. Un jour, pendant mes dévotions, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Parce que les gens ne reconnaissent pas les orchestrations de Dieu et la souveraineté de Dieu, ils continuent à défier le destin insolemment et avec une attitude rebelle, et ils sont toujours tentés de rejeter l’autorité et la souveraineté de Dieu, ainsi que les choses que le destin a en réserve, espérant en vain changer leur situation actuelle et modifier leur destin. Mais ils ne peuvent jamais réussir et sont sans arrêt contrariés. Cette lutte, qui se déroule au fond de l’âme, génère une profonde douleur, une douleur du genre à s’incruster jusqu’à la moelle, tandis que l’on gaspille sa vie pendant tout ce temps. Quelle est la cause de cette douleur ? Est-elle due à la souveraineté de Dieu, ou au fait qu’une personne soit née malchanceuse ? Évidemment, ni l’un ni l’autre n’est vrai. Au fond, elle est due aux voies que les gens prennent, aux façons dont ils choisissent de mener leur vie. Certaines personnes peuvent ne pas avoir pris conscience de ces choses. Mais quand tu le sais vraiment, quand tu arrives vraiment à reconnaître que Dieu a la souveraineté sur le destin humain, quand tu comprends vraiment que tout ce que Dieu a prévu pour toi et décidé pour toi te profite énormément et que c’est une grande protection, tu ressens alors peu à peu que ta douleur commence à s’apaiser et que tout ton être se détend, s’affranchit et se libère. À en juger par les états de la plupart des gens, ils ne sont objectivement vraiment pas capables d’appréhender la valeur pratique et le sens de la souveraineté du Créateur sur le destin humain, bien qu’à un niveau subjectif ils ne veuillent pas continuer à vivre comme avant et qu’ils veuillent être soulagés de leur douleur ; objectivement, ils ne peuvent pas vraiment reconnaître la souveraineté du Créateur ni s’y soumettre, et encore moins savoir comment rechercher et accepter les orchestrations et arrangements du Créateur. Donc, si les gens ne peuvent pas vraiment reconnaître le fait que le Créateur a la souveraineté sur le destin humain et sur toutes les questions humaines, s’ils ne peuvent pas se soumettre vraiment à la domination du Créateur, alors il sera difficile pour eux de ne pas être entraînés et assujettis par l’idée que “le destin de chacun repose entre ses propres mains”. Il leur sera difficile de se débarrasser de la douleur de leur lutte intense contre le destin et l’autorité du Créateur, et inutile de dire que ce sera aussi difficile pour eux de se libérer et de s’affranchir véritablement pour devenir des adorateurs de Dieu » Dieu Lui-même, l’Unique III », dans La Parole apparaît dans la chair. Ces paroles de Dieu m’ont émue. Avant ça, je n’avais jamais comparé mon état à ce qu’elles révèlent. Je pensais que ces paroles étaient adressées aux incroyants, tandis que je croyais en Dieu, reconnaissais Sa souveraineté et y obéissais. Mais en me calmant et en méditant ce passage, j’ai compris que reconnaître la souveraineté de Dieu ne signifie pas y obéir. Ҫa ne signifie même pas connaître la souveraineté de Dieu. Même si je croyais en Dieu, la manière dont je voyais les choses était toujours la même que celle des incroyants. Les incroyants pensent toujours que le destin des gens est entre leurs mains et ils veulent toujours lutter contre le destin. Ils veulent changer leur destinée grâce à leurs efforts et vivre une vie d’excellence. Le résultat, c’est qu’ils souffrent beaucoup, qu’ils paient un prix élevé, jusqu’à ce qu’ils soient meurtris encore et encore, ce qui ne les incite même pas à renoncer. N’étais-je pas semblable à eux ? Je voulais mettre un terme au statu quo grâce à mes efforts et je comptais sur eux pour obtenir une promotion et des rôles importants. Dans ce but, j’avais souffert en silence, payé un prix et travaillé pour acquérir des compétences professionnelles. Quand mon désir avait été frustré, j’étais devenue passive et résistante, et je m’étais enfoncée. Je n’ai compris qu’à ce moment-là que si j’étais aussi malheureuse et fatiguée, c’était parce que j’avais pris le mauvais chemin et choisi la mauvaise manière de vivre. J’avais considéré des absurdités sataniques comme Chacun contrôle sa destinée » et L’homme peut créer une agréable patrie de ses deux mains » comme des maximes de conduite. Je croyais que je devais travailler dur pour atteindre mon but. Voilà pourquoi je n’arrivais pas à obéir aux arrangements de la maison de Dieu. J’avais toujours voulu lutter contre Dieu, me délivrer de Sa souveraineté et gagner une réputation et un statut par mes efforts. Je n’ai compris qu’à ce moment-là que je ne croyais en Dieu qu’en paroles. Je ne croyais pas à la souveraineté de Dieu dans mon cœur et je n’étais pas capable d’obéir à Ses arrangements. Quelle était la différence entre une croyante telle que moi et un non-croyant ? Dieu est le Créateur, et Dieu règne souverainement sur toutes choses et contrôle toutes choses. La destinée de chaque personne, son calibre, ses compétences particulières, le devoir qu’elle accomplit dans la maison de Dieu, les situations dont elle fait l’expérience à tel ou tel moment et ainsi de suite, tout ça est contrôlé et préordonné par Dieu. Personne ne peut y échapper ni rien y changer. Ce n’est qu’en obéissant à la souveraineté de Dieu et en l’acceptant qu’on peut obtenir la protection et les bénédictions de Dieu et vivre une vie libre. Sachant cela, je me suis subitement sentie pitoyable et pathétique. Je croyais en Dieu depuis des années et j’avais mangé et bu beaucoup de Ses paroles, mais j’étais semblable à un incroyant. Je ne connaissais pas l’omnipotence et la souveraineté de Dieu, et j’avais toujours résisté à Dieu. J’étais si ignorante et arrogante ! J’ai médité cette parole de Dieu Quand tu comprends vraiment que tout ce que Dieu a prévu pour toi et décidé pour toi te profite énormément et que c’est une grande protection, tu ressens alors peu à peu que ta douleur commence à s’apaiser et que tout ton être se détend, s’affranchit et se libère » Dieu Lui-même, l’Unique III », dans La Parole apparaît dans la chair. Je me suis demandé comment je pouvais savoir que cet environnement était bon pour moi, qu’il me protégeait. En y réfléchissant, j’ai pris conscience que je n’avais jamais connu un échec depuis que je croyais en Dieu, je n’avais jamais connu de revers ni été renvoyée ou transférée. J’avais été promue continuellement. Sans m’en rendre compte, j’avais commencé à me prendre pour quelqu’un qui cherchait la vérité, qui méritait d’être cultivé dans la maison de Dieu, et je m’étais naturellement mise à concevoir le fait d’être promue » comme un but. Chaque fois que j’avais été promue, je ne l’avais pas vu comme un mandat et une responsabilité que Dieu me confiait, je n’avais pas cherché la vérité d’une manière terre à terre et je ne m’étais pas demandé comment utiliser les principes dans mon devoir. À la place, j’avais vu le mandat de Dieu comme un outil pour rechercher le statut et l’admiration des autres. Je pensais que plus le statut et le devoir étaient élevés, plus les gens m’admireraient et m’apprécieraient, alors je me souciais beaucoup des promotions et je m’inquiétais à propos des gains et des pertes en permanence. J’avais oublié depuis longtemps ce que je devais rechercher dans ma foi en Dieu. Quand j’y repense, j’avais beaucoup trop d’ambition. Je ne sais pas à quel point je serais devenue arrogante ni quel mal j’aurais fait si j’avais été promue comme je le souhaitais. Il n’y a que trop d’exemples de tels échecs. Il y a beaucoup de gens qui peuvent accomplir sincèrement leurs devoirs tant qu’ils n’ont pas de statut, mais dès qu’ils en ont un, leur ambition grandit, ils commencent à faire le mal, et ils trompent et attirent les gens. Pour préserver leur réputation et leur statut, ils excluent et oppriment les autres, et ils finissent par causer leur propre perte. J’ai compris que le statut, pour ceux qui recherchent la vérité et empruntent le bon chemin, était pratique et perfection. Pour ceux qui ne cherchent pas la vérité et empruntent le mauvais chemin, il est tentation et révélation. Pour ma part, je n’avais toujours aucun statut et, parce que je n’avais pas été promue, j’étais si contrariée que je ne voulais même plus faire mon devoir. Je me suis aperçue que mon ambition et mon désir étaient supérieurs à la moyenne. Si on me confiait effectivement un devoir important, j’échouerais aussi lamentablement que ces gens l’avaient fait. À ce stade, j’ai vraiment senti que le fait qu’on ne m’ait pas nommée dirigeante d’équipe ou superviseuse était le fruit des bonnes intentions de Dieu. Dieu S’était servi de cet environnement pour me forcer à prendre le temps de réfléchir sur moi-même, et pour m’aider à faire demi-tour et à m’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Un tel environnement était ce que ma vie requérait et la grande protection de Dieu pour moi. En y pensant, j’ai senti que Dieu avait fait une bonne chose. Parce que j’étais aveugle, ignorante, et que je ne comprenais pas la volonté de Dieu, j’avais mal compris Dieu et je L’avais blâmé. Je L’avais vraiment blessé. Après ça, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Quel genre de cœur Dieu veut-Il ? Tout d’abord, le cœur doit être honnête. Il doit être capable d’accomplir un devoir d’une manière sincère et terre à terre, capable de protéger le travail de la maison de Dieu, et sans prétendues grandes aspirations ou objectifs élevés. Il doit en être un qui veut avancer pas à pas en suivant Dieu, en adorant Dieu et en vivant comme un être créé. Il ne doit pas désirer être un oiseau dans le ciel ou un être créé quelconque sur une autre planète, et encore moins désirer être quelqu’un avec des capacités surnaturelles. En outre, ce cœur doit aimer la vérité. À quoi se réfère principalement le fait d’aimer la vérité ? Au fait d’aimer les choses positives, de posséder un sens de la justice, d’être capable de se dépenser sincèrement pour Dieu, d’être capable d’aimer sincèrement Dieu, d’être capable d’obéir à Dieu et d’être capable de témoigner de Dieu » Les cinq états nécessaires pour être dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai été très émue. J’ai senti ce que Dieu espérait pour les gens et exigeait d’eux. Dieu ne veut pas que les gens soient célèbres, grandioses ou élevés. Dieu ne nous demande pas de nous engager dans de grandes entreprises ou d’accomplir de grandes choses. Dieu espère que les gens chercheront la vérité, se soumettront à Ses arrangements dans leurs devoirs et les accompliront d’une manière terre à terre. Mais je ne comprenais pas la volonté de Dieu et ne me connaissais pas moi-même. J’avais toujours voulu un statut, être un maître ou un personnage important. Sans statut ni attention, j’avais l’impression de mener une vie suffocante et inutile. Je n’avais ni humanité ni raison. J’étais un brin d’herbe qui voulait être un arbre, un moineau qui voulait être un aigle, et, à cause de ça, j’ai lutté jusqu’à être malheureuse et épuisée. Quand je l’ai compris, j’ai prié Dieu Ô Dieu ! Autrefois, je cherchais toujours la renommée et le statut. Je voulais toujours être de plus en plus admirée. Je n’étais pas satisfaite d’accomplir mon devoir dans l’ombre, ce que Tu détestes et qui Te dégoûte. Maintenant, je comprends que c’est le mauvais chemin. Je veux me soumettre à Tes arrangements. Que je sois promue à l’avenir ou non, je chercherai la vérité d’une manière terre à terre et je ferai bien mon devoir. » Après avoir prié, je me suis sentie très soulagée et plus proche de Dieu. Plus tard, en lisant les paroles de Dieu, j’ai un peu mieux compris mon point de vue erroné sur la recherche. La parole de Dieu dit Certains disent “Quand une personne est promue à un poste de dirigeant, elle a un statut et n’est plus une personne ordinaire.” Est-ce exact ? Certains disent “Être dirigeant signifie avoir un statut, mais plus on est grand, plus on se fait mal en tombant. On se sent seul au sommet.” Est-ce vrai ? C’est évidemment faux. […] Quand quelqu’un est promu et formé par la maison de Dieu, cela ne signifie pas qu’il a une position ou un statut spécial dans la maison de Dieu, afin de bénéficier d’un traitement de faveur et de privilèges. Au contraire, après avoir été exceptionnellement exalté dans la maison de Dieu, on lui donne l’occasion de pratiquer et d’entrer dans les réalités de la vérité, et de meilleures conditions pour le faire, afin qu’il soit capable d’effectuer un travail plus spécifique impliquant les principes de la vérité. C’est-à-dire que les principes sont fortement impliqués dans ce travail, et les exigences et les normes de la maison de Dieu seront plus élevées, ce qui est très bénéfique pour l’entrée dans la vie des gens. Quand une personne est promue et formée dans la maison de Dieu, cela signifie qu’elle sera soumise à des exigences strictes et étroitement supervisée. La maison de Dieu va strictement inspecter et superviser le travail qu’elle fait, et va comprendre et prêter attention à son entrée dans la vie. Vues sous cet angle, les personnes promues et formées par la maison de Dieu bénéficient-elles d’un traitement de faveur, d’un statut spécial et d’une position particulière ? Absolument pas, et encore moins d’une identité extraordinaire. Pour les personnes qui ont été promues et utilisées dans des rôles importants, si elles sentent qu’elles ont un capital et qu’elles stagnent et cessent de poursuivre la vérité, alors elles sont en danger lorsqu’elles rencontrent des épreuves et des tribulations. Certains disent “Si quelqu’un est promu et formé pour devenir dirigeant, alors il a une identité. Même s’il ne fait pas partie des premiers-nés, il a au moins l’espoir de faire partie du peuple de Dieu. Je n’ai jamais été promu ou formé, alors quel espoir ai-je de compter parmi le peuple de Dieu ?” C’est une erreur de penser de cette manière. Pour faire partie du peuple de Dieu, il faut avoir une expérience de vie et il faut être quelqu’un qui obéit à Dieu. Que l’on soit dirigeant, ouvrier ou un simple fidèle, toute personne qui possède les réalités de la vérité fait partie du peuple de Dieu. Même si l’on est dirigeant ou ouvrier, si l’on ne possède pas les réalités de la vérité, on reste executant » Identifier les faux dirigeants 5. Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris qu’être promus et cultivés dans la maison de Dieu ne donne pas un statut spécial aux gens et ne leur procure pas un traitement spécial, comme celui des responsables dans le monde. C’est simplement une occasion de pratiquer. Ce sont juste un mandat et une responsabilité plus importants pour les gens. Une personne promue et cultivée passe seulement d’un devoir à un autre. Ҫa ne signifie pas que son identité et son statut sont plus élevés que ceux des autres, ni qu’elle comprend la vérité ou possède ses réalités. Ne pas être promu ne signifie pas qu’on est inférieur ni qu’on n’a aucun avenir et qu’on ne peut pas être sauvé. En bref, Dieu traite les gens équitablement, quel que soit leur devoir, qu’ils soient promus ou non. La famille de Dieu arrange les devoirs raisonnablement, en fonction du calibre et des compétences des gens, de manière à ce que leur calibre et leurs compétences soient pleinement mis à profit. C’est aussi bénéfique pour le travail de la maison de Dieu que pour notre entrée dans la vie personnelle. Dieu attend la même chose des gens et les nourrit de la même manière, qu’ils obtiennent un devoir important ou non. Dieu veut que les gens cherchent la vérité et changent leur tempérament en accomplissant leurs devoirs. Par conséquent, le salut de Dieu pour les gens ne dépend pas de leur statut, leurs qualifications ou leur âge. Il dépend de l’attitude des gens envers la vérité et leur devoir. Si on emprunte le chemin de la poursuite de la vérité, on peut gagner de la pratique en accomplissant notre devoir et faire des progrès dans la vie. Si on n’emprunte pas le chemin de la poursuite de la vérité, quelle que soit l’élévation de notre statut, on ne durera pas. Tôt ou tard, on sera renvoyés et éliminés. Autrefois, je n’avais pas une compréhension pure de la promotion. Je croyais qu’on gagnait du statut en étant promu et que plus mon statut serait élevé, meilleurs seraient mon avenir et mon destin. Du coup, je ne recherchais que le statut au lieu de chercher la vérité dans mon devoir. Je n’ai compris qu’à ce moment-là à quel point ce point de vue était absurde ! En réalité, la maison de Dieu m’avait donné la chance de pratiquer, mais mon calibre était trop médiocre pour des tâches plus importantes. Comme je n’avais aucune conscience de moi-même, je me croyais compétente et je pensais qu’on pouvait me confier un mandat plus important. Je ne me connaissais vraiment pas. Quel que soit le genre de travail qu’on fait dans la maison de Dieu, on a tous besoin de comprendre la vérité et d’entrer dans ses principes pour obtenir de bons résultats dans notre travail. Mais je ne comprenais pas la vérité et je n’étais pas capable de faire un travail concret. Même si j’avais été promue, quel bien aurais-je pu faire ? N’aurais-je pas juste gêné les autres ? Non seulement j’aurais été complètement épuisée, mais j’aurais entravé le travail de la maison de Dieu. Ҫa n’en aurait pas valu la peine. À ce moment-là, j’ai enfin compris que mon devoir me convenait très bien. J’étais capable de le faire et il mettait mes points forts à profit. Ҫa aidait mon entrée dans la vie et c’était bénéfique au travail de la maison de Dieu. Grâce à l’éclairage et à la direction des paroles de Dieu, je suis devenue de plus en plus consciente de la volonté de Dieu, j’ai trouvé ma place et mon état passif a été résolu. Après ça, je n’ai plus été contrôlée par mon statut et j’ai porté un fardeau dans mon devoir. Quand je n’étais pas occupée par mon travail, j’ai employé mon temps libre à m’entraîner à prêcher l’Évangile et à témoigner de Dieu. Quand je voyais des gens qui croyaient vraiment en Dieu et aimaient la vérité accepter l’œuvre de Dieu dans les derniers jours, j’éprouvais une grande paix et un grand confort. Finalement, j’ai compris que l’importance de la position dans laquelle on se trouve ne compte pas. Ce qui compte, c’est notre capacité à remplir le rôle d’un être créé en accomplissant notre devoir. C’est le plus important. Maintenant, même si j’apprends régulièrement que des frères et sœurs que je connais ont été promus, je suis bien plus calme et je ne suis plus jalouse ni envieuse, parce que je sais que même si nous faisons des devoirs différents, nous avons tous le même but, qui est de prêcher l’Évangile du Règne de Dieu du mieux possible. Maintenant, j’ai enfin trouvé ma place. Je ne suis qu’un petit être créé. Mon devoir est d’obéir aux orchestrations et aux arrangements du Créateur. À l’avenir, quel que soit mon devoir, je suis prête à accepter, obéir, et à faire de mon mieux dans mon devoir pour satisfaire Dieu !
Idéepréconçue : Lorsque la vérité est connue, elle devrait être dévoilée de manière judicieuse, en prenant soin de ne pas heurter la sensibilité des autres, de préserver la vie privée, et en évitant de se mettre en position de vulnérabilité.De nombreuses personnes ne supportent pas la vérité ; elles deviennent agressives, belliqueuses, ou complétement démunies.
Versets les plus Pertinents Jean 832 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. 1 Timothée 315 mais afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l'Église du Dieu vivant, la colonne et l'appui de la vérité. 2 Corinthiens 67 par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice; 2 Timothée 225 il doit redresser avec douceur les adversaires, dans l'espérance que Dieu leur donnera la repentance pour arriver à la connaissance de la vérité, Psaumes 516 Mais tu veux que la vérité soit au fond du coeur Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi! Proverbes 1217 Celui qui dit la vérité proclame la justice, Et le faux témoin la tromperie. 1 Jean 16 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité. Jean 146 Jésus lui dit Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 321 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu. 2 Corinthiens 42 Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous n'altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu. Actes 2030 et qu'il s'élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux. Éphésiens 415 mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. Jean 173 Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Apocalypse 37 Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira Apocalypse 167 Et j'entendis l'autel qui disait Oui, Seigneur Dieu tout puissant, tes jugements sont véritables et justes. 2 Corinthiens 68 au milieu de la gloire et de l'ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation; étant regardés comme imposteurs, quoique véridiques; Jean 423 Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Jean 532 Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu'il rend de moi est vrai. Jean 813-18 Là-dessus, les pharisiens lui dirent Tu rends témoignage de toi-même; ton témoignage n'est pas vrai. Jésus leur répondit Quoique je rende témoignage de moi-même, mon témoignage est vrai, car je sais d'où je suis venu et où je vais; mais vous, vous ne savez d'où je viens ni où je vais. Vous jugez selon la chair; moi, je ne juge si je juge, mon jugement est vrai, car je ne suis pas seul; mais le Père qui m'a envoyé est avec moi. Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai; je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi. Jean 1041 Beaucoup de gens vinrent à lui, et ils disaient Jean n'a fait aucun miracle; mais tout ce que Jean a dit de cet homme était vrai. Topics on Vérité Contre la vérité Romains 118 La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, Dire la vérité Éphésiens 415 mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. Faire la Vérité Michée 720 Tu témoigneras de la fidélité à Jacob, De la bonté à Abraham, Comme tu l'as juré à nos pères aux jours d'autrefois. L'Esprit De La Vérité Jean 1613 Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. La Vérité De Dieu Exode 346 Et l'Éternel passa devant lui, et s'écria L'Éternel, l'Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, Le Christ Disant la Vérité Matthieu 2216 Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Marcher dans la vérité 1 Rois 24 et afin que l'Éternel accomplisse cette parole qu'il a prononcée sur moi Si tes fils prennent garde à leur voie, en marchant avec fidélité devant moi, de tout leur coeur, et de toute leur âme, tu ne manqueras jamais d'un successeur sur le trône d'Israël. Connaître la vérité de Dieu Dire La Vérité Dire la vérité Faire la Vérité Honnêteté La Vie Éternelle Never miss a post
Cest même par cet impossible que la vérité tient au réel. Nous avons toute la vie pour nous amuser et toute la mort pour nous reposer. Toute vague connait la mer. Toute vague se brise sur le rocher. Toute vague se reconstruit pour mieux se répandre sur le sable.

J’ai été récemment voir La Boussole d’Or » au cinéma, avec ma fille. Dès le début du film, une réplique expliquait qu’il ne faut pas dire la vérité aux gens. De suite, je me suis posé la question suivante et ci-dessus toute vérité est-elle bonne à dire ? D’autant que ma fille est sortie très déçue du cinéma, pestant contre le scénariste qui n’avait pas respecté la fin du livre. Forcément, dans le livre, la fin est peu glorieuse et triste. Le film, lui, finit sur une note d’ l’on regarde du côté des gouvernements, y en a-t-il un seul, qui dise la vérité aux gens ? Les hommes politiques, que ce soit avant une élection ou après, nous disent une chose en général, plus ou moins ce que nous voulons entendre ou ce que nous savons, car ça découle du bon sens et en font d’autres, pas toujours ouvertement. Comme exemple, je vais prendre l’affaire Tchernobyl lorsque les media ont été alertés et ont commencé à diffuser leurs images, il était évident que le peuple allait poser des questions et l’on s’est préparé à y répondre ; en France, on a trouvé ! Le nuage radioactif » s’arrêterait aux frontières. Bien sûr il n’en était rien, mais il a fallu du temps pour que le mensonge transpire et ce temps a été largement mis à profit par le président d’alors pour réussir à se faire côté de l’aspect politique, qui, il faut le dire, ne constitue qu’une partie lointaine de notre univers quotidien, et plus proche de nous, il y a l’attitude ambivalente de certains médecins, face à des malades à qui il faut dire des choses qui, on le sait d’avance, ne feront pas plaisir, mais dont on ne peut pas deviner comment ils les prendront. Si aujourd’hui on ne cache pas la vérité à un sidéen j’ose l’espérer, en tout cas, qu’en est-il de ceux qui ont le cancer ? Je me souviens de la mère de mon dernier ex-compagnon. A 86 ans, elle a dû partir en maison de retraite, en faisant une étape de quelques semaines par l’hôpital. Là, on nous a dit qu’elle présentait quelques petites pathologies, qui, prises une par une, n’étaient pas bien méchantes, mais qui, ensemble, constituaient un vrai péril. Et, couronne sur le gâteau, on nous a annoncé qu’elle développait un cancer du côlon à l’état avancé, mais qu’il valait mieux ne pas le lui dire, afin de ne pas la stresser. La pauvre femme est morte deux ans plus tard sans même savoir ce qu’elle ce qui est du cercle social dans lequel chacun évolue, les choses vont-elles mieux ? Vous avez tous, je suppose, été rendre visite à un couple qui vient d’avoir un bébé. Et il est très rare d’entendre une tête penchée sur un berceau dire que le bébé n’est pas beau ? En effet, il serait très difficile de dire à un couple comblé de bonheur que leur rejeton est rouge et moche, ou qu’il a un grand nez. Pourtant, il est très rare qu’un nouveau-né soit mignon. Je n’irai pas jusqu’à dire que j’ai trouvé ma propre fille moche, mais, à dire la vérité, je ne peux pas dire qu’elle était mignonne non plus. De grands pieds, de grandes mains, les yeux fermés, ce vilain ombilic qui séchait sur son ventre… tout cela n’était certainement pas l’image que l’on se fait d’un une amie qui se plaint d’avoir de grosses fesses, on ne dira pas oui, c’est vrai, tu as le cul gros comme un département », même si c’est vrai. On se contentera de lui dire que ce n’est pas si terrible que ça et qu’avec un bon régime et un peu de sport, elle retrouvera une ligne plus conforme à ses l’on se tourne vers le monde du travail, sommes nous mieux lotis ? Vous savez ce qu’on dit, sur le chef », toujours en rigolant Article 1 le chef a toujours raisonArticle 2 Si le chef a tort, alors on applique l’Article 1. »Je pense que ceci se passe de commentaires !On pourrait trouver une foule d’exemples, dans tous les domaines, qui démontrent que même les gens qui ont les meilleures intentions du monde, à un moment ou à un autre, sont susceptibles de ne pas dire la vérité toute crue ».Que ce soit pour rassurer les gens, épargner un malade, ne pas gâcher le plaisir de parents ou consoler une amie, le fait est que la vérité n’est pas toujours bonne à dire, ou du moins, qu’elle n’est pas toujours assez agréable à entendre pour que nous voulions la cela ne signifie-t-il pas, dans un sens, que nous décidons pour l'autre? Nous décidons, quand nous ne disons pas la vérité, de ce que l'autre à le "droit" d'entendre ou pas. La question qu'il faut se poser est la suivante aimerions nous être, dans ce cas précis, à la place de l'autre?

Toutevérité n'est pas bonne à dire. It was all I could think of to say. Toute vérité n'est pas bonne à dire, mais souvent elle est difficile à entendre. It may not always be a good thing to tell the truth, but it is more often hard to hear it. Toute vérité n'est pas bonne à dire. The truth is sometimes best left unsaid.
To add entries to your own vocabulary, become a member of Reverso community or login if you are already a member. It's easy and only takes a few seconds "toute vérité n'est pas bonne" examples and translations in context Toute vérité n'est pas bonne à dire. There can be too much truth in any relationship. Toute vérité n'est pas bonne à dire. Not all truths should be spoken. Toute vérité n'est pas bonne à dire. Not every truth is fit to be told. Toute vérité n'est pas bonne à dire. It was all I could think of to say. Toute vérité n'est pas bonne à dire, mais souvent elle est difficile à entendre. It may not always be a good thing to tell the truth, but it is more often hard to hear it. Toute vérité n'est pas bonne à dire. The truth is sometimes best left unsaid. See how “toute vérité n'est pas bonne” is translated from Französisch to Englisch with more examples in context
Toutevérité n’est pas bonne à dire; – Toute vérité n’est pas bonne à croire; Le Mariage de Figaro (1784), IV, 1 Citations de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. Autres citations. La culture nous apparaît d’abord comme la connaissance de ce qui a fait de l’homme autre chose qu’un Malraux André. La culture nous apparaît d
Toujours dire la vérité n’est-​ce bon que pour les autres ? “ J’AI horreur des mensonges et j’ai horreur qu’on me mente ! ” s’est exclamée une jeune fille de 16 ans. Tel est aussi notre sentiment, pour la plupart. Nous aimons à penser que les renseignements qu’on nous donne, tant en parole que par écrit, sont véridiques. Mais disons-​nous la vérité lorsque nous transmettons des informations aux autres ? Lors d’une étude réalisée en Allemagne, la grande majorité des personnes interrogées ont estimé que “ mentir sur des questions mineures dans le but de se protéger ou de protéger autrui est acceptable, et même nécessaire, pour préserver de bonnes relations ”. “ Toujours dire la vérité, rien que la vérité, constitue un noble idéal... mais c’est lassant ”, a écrit une journaliste. Se pourrait-​il que nous préférions entendre la vérité, tout en estimant avoir parfois de bonnes raisons de ne pas la dire nous-​mêmes ? Est-​il important de toujours dire la vérité ? Quelles sont les conséquences du mensonge ? Les préjudices causés par le mensonge Considérons quelques-uns de ces préjudices. Le mensonge engendre la méfiance entre conjoints et entre membres d’une même famille. Une rumeur non fondée peut nuire à la réputation de quelqu’un. La malhonnêteté des employés augmente les coûts d’exploitation et entraîne une hausse des prix. Les déclarations de revenus frauduleuses privent les gouvernements de fonds indispensables au fonctionnement des services publics. Les mensonges de chercheurs ruinent des carrières prometteuses et ternissent la renommée d’institutions respectées. Des affaires malhonnêtes permettant de faire fortune rapidement dépouillent des investisseurs crédules de leurs économies accumulées durant toute une vie, ou entraînent des conséquences pires encore. Rien d’étonnant donc que la Bible fasse figurer parmi les choses détestables aux yeux de Jéhovah Dieu “ une langue mensongère ” et “ un faux témoin qui exhale des mensonges ” ! — Proverbes 616-19. Le mensonge, aujourd’hui si répandu, peut faire du tort tant aux individus qu’à la société dans son ensemble. Rares sont ceux qui prétendront le contraire. Dans ce cas, pourquoi certains mentent-​ils délibérément ? Toute fausse affirmation constitue-​t-​elle un mensonge ? Nous répondrons à ces questions, ainsi qu’à d’autres, dans le prochain article. [Illustration, page 3] Le mensonge engendre la méfiance entre conjoints. TL3h.
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