ForumsLe Salon des auteurs Mettre sa fic en valeur : TITRE, RESUME, CHAPITRE. Yebbeka. Comment faire un bon rĂ©sumĂ©, comment dĂ©couper ses chapitres, leur trouver des titres. Mais aussi, quel personnage indiquer, choisir le rating, composer le disclamer, choisir le genre etc. . Venez donner votre technique ^o^. 19 octobre 2007 5 19 /10 /octobre /2007 2105 l'auteur Yves Grevet a dĂ©diĂ© ce roman Ă  ses parents . Il est aussi l'auteur d'ouvrages illustrĂ©s Published by BCD-CDI-ISP - dans C'Ă©tait mon oncle 2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 2128 C'Ă©tait mon oncle Ce roman est paru en 2006 aux Ă©ditions Syros dans la collection "tempo" Published by BCD-CDI-ISP - dans C'Ă©tait mon oncle 2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 2126 Vos passages prĂ©fĂ©rĂ©s Quel est votre passage prĂ©fĂ©rĂ© du roman ? Published by BCD-CDI-ISP - dans C'Ă©tait mon oncle 2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 2108 les personnages - Armand, l’oncle de NoĂ©, passionnĂ© de poĂ©sie. Tout au long du roman, nous prenons du plaisir Ă  lire quelques vers d’auteurs contemporains Boris Vian, RenĂ© Char, Paul Eluard, Henri Michaux
 Et le petit garçon part Ă  la dĂ©couverte de son oncle qu’il n’a jamais connu Ă  travers ces quelques vers Un jour Il y aura autre chose que le jour Les heures seront diffĂ©rentes Pas pareilles, sans rĂ©sultat » Boris Vian - la grand-mĂšre qui habite Ă  Clermont et chez qui NoĂ© aime passer ses vacances car seul chez lui Ă  la campagne, il s’ennuie. - Jean-Pierre, son meilleur ami, passionnĂ© de jeux vidĂ©o, qui aide NoĂ© Ă  rechercher la vĂ©ritable identitĂ© de son oncle disparu Published by BCD-CDI-ISP - dans C'Ă©tait mon oncle 2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 2100 l'histoire L’auteur dĂ©die ce roman Ă  ses parentsLe premier chapitre est intitulĂ© Qui est Armand Petit ? » et il commence ainsi Tous les soirs, le car me dĂ©posait Ă  dix-sept heures devant le chemin qui menait Ă  la maison ». Le narrateur est un petit garçon prĂ©nommĂ© NoĂ©. Seul Ă  la maison, faisant ses devoirs, le tĂ©lĂ©phone sonne. Le commissariat lui apprend le dĂ©cĂšs d’un certain Armand Petit. Qui est donc cet Armand Petit ? Et NoĂ© apprend que son pĂšre avait un frĂšre aĂźnĂ© qui vivait depuis quinze ans comme un clochard. Published by BCD-CDI-ISP - dans C'Ă©tait mon oncle

TomeI – Chapitre 2 : Une vitre disparaĂźt RĂ©sumĂ©. PĂ©tunia et Vernon Dursley submergent leur fils Dudley de cadeaux tandis que Harry est pratiquement laissĂ© Ă  l’abandon : il dort dans le placard Ă  balai, il ne reçoit que des ordres ou des reproches, Dudley le frappe en toute impunitĂ© plus grave encore : il ignore tout de ses parents, des Ă©vĂšnements qui entourent sa naissance

Dessin des personnages de Harry Potter Ă  l’Ecole des Sorciers © Marta T., “C’est de la littĂ©rature, cela parle de ce que nous sommes, de choses plus profondes que simplement raconter des histoires. C’est juste que le public visĂ© n’est pas du genre Ă  boire beaucoup de Chardonnay.” – Robbie Coltrane Hagrid. Les Harry Potter constituent une sĂ©rie de livres Ă©crits par l’auteur Ă©cossais Joanne Rowling. Elle Ă©crit sous le pseudonyme de Rowling, le K ayant Ă©tĂ© empruntĂ© au nom de sa grand-mĂšre, Kathleen, car elle n’a, en fait, pas de second prĂ©nom. Les livres racontent l’histoire d’un garçon nommĂ© Harry qui fut Ă©levĂ© par un oncle et une tante abusifs de ses un an Ă  ses onze ans. Le jour de son onziĂšme anniversaire, il apprend avec Ă©tonnement qu’il est en fait un sorcier et qu’il est attendu Ă  la rentrĂ©e Ă  l’Ecole de Sorcellerie Poudlard. Les livres racontent ses annĂ©es Ă  Poudlard, un livre pour chacune des sept annĂ©es scolaires. Tandis que Harry en apprend de plus en plus sur son identitĂ© vĂ©ritable, il apprend aussi qu’il fait partie d’une plus grande histoire, une confrontation presque lĂ©gendaire entre le bien et le mal, entre lui, avec ses amis et alliĂ©s, et le plus grand Mage Noir de notre Ă©poque, Voldemort. Tandis que ses annĂ©es Ă  Poudlard passent, Harry dĂ©couvre son rĂŽle Ă  jouer dans cette lutte importante et se retrouve dans des batailles et des conflits. Les Harry Potter sont disponibles en plusieurs Ă©ditions cartonnĂ©es, en grand format, en format poche et en CDs audio. Bloomsbury, l’éditeur anglais, propose aussi les livres en Ă©ditions adultes, mais ils sont identiques en tous points aux Ă©ditions “enfants”, si ce n’est qu’ils ont une couverture diffĂ©rente. Si vous voulez les acheter sur cliquez sur la couverture prĂ©sente dans les pages consacrĂ©es aux livres. Un grand nombre de fans francophones les lisent aussi en anglais, c’est une expĂ©rience qui vaut la peine. Les livres RĂ©sumĂ©s chapitre par chapitre Rowling Ă  propos des livres SĂ©rie principale 1 Harry Potter Ă  l’Ecole des Sorciers 1997 RĂ©sumĂ© des chapitres 2 Harry Potter et la Chambre des Secrets 1998 RĂ©sumĂ© des chapitres 3 Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban 1999 RĂ©sumĂ© des chapitres 4 Harry Potter et la Coupe de Feu 2000 RĂ©sumĂ© des chapitres 5 Harry Potter et l’Ordre du PhĂ©nix 2003 RĂ©sumĂ© des chapitres 6 Harry Potter et le Prince de Sang-MĂȘlĂ© 2005 RĂ©sumĂ© des chapitres 7 Harry Potter et les Reliques de la Mort 2007 RĂ©sumĂ© des chapitres Hors-sĂ©rie Les Animaux Fantastiques 2001 Le Quidditch Ă  travers les Ages 2001 Les Contes de Beedle le Barde 2007-2008 PrĂ©quelle 2008 L’ArmĂ©e de Dumbledore Ă  nouveau rĂ©unie pour la finale de la Coupe du Monde 2014 article initialement publiĂ© sur Pottermore Rowling Ă  propos des livres Ces commentaires sont tirĂ©s d’interviews de JKR. Elles sont toutes sous copyrights de leurs diffĂ©rentes sources. Interview donnĂ©e par Borders Online 1999 Comment vous est venue l’idĂ©e de Harry Potter ? JKR Je faisais un long voyage en train de Manchester Ă  Londres et l’idĂ©e de Harry m’est venue d’un coup. À ce moment-lĂ , j’avais surtout l’idĂ©e d’un garçon que ne savait pas qu’il Ă©tait un sorcier et ne connaissait pas l’école de sorcellerie oĂč il allait finir par aller. Combien de temps cela vous a-t-il pris pour finir le premier livre ? JKR Cinq ans, mĂȘme si pendant ce temps je planifiais et rĂ©digeais des parties des six livres suivants. Qu’avez-vous dĂ» faire pour que les lecteurs puissent commencer la sĂ©rie avec Harry Potter et la Chambre des Secrets et ne soient pas perdus ? JKR C’est devenu plus qu’un dĂ©fi de maintenir les lecteurs Ă  niveau Ă  chaque nouveau Harry Potter j’écris actuellement le quatriĂšme. Dans le cas de La Chambre des Secrets, les choses Ă©taient simples. J’ai essayĂ© d’introduire des informations sur Harry et sa premiĂšre annĂ©e Ă  Poudlard de la maniĂšre la plus naturelle possible. Toutefois, quand j’arriverai aux livres 5 et 6, cela sera beaucoup plus difficile. Cela me fait penser aux “dans l’épisode prĂ©cĂ©dent
”, lorsqu’on doit regarder un rĂ©sumĂ© d’une demie-heure pour comprendre l’épisode de la semaine. Peut-ĂȘtre Ă©crirai-je juste un prĂ©face “dans les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents de Harry Potter
”, puis je dirai aux lecteurs de revenir en arriĂšre et de lire les quatre premiers livres ! Quels types de changements ont dĂ» ĂȘtre apportĂ©s au manuscrit pour rendre le livre plus comprĂ©hensible pour les lecteurs amĂ©ricains ? Des choses prĂ©cises, comme le titre du premier Harry Potter ? [Ndt Harry Potter and the Philosopher’s Stone a Ă©tĂ© changĂ© en Harry Potter and the Sorcerer’s Stone pour la version amĂ©ricaine] JKR TrĂšs peu de changements ont Ă©tĂ© apportĂ©s au manuscrit. Arthur Levine, mon Ă©diteur amĂ©ricain, et moi-mĂȘme avons dĂ©cidĂ© que des mots ne devaient ĂȘtre modifiĂ©s que si nous sentions qu’ils seraient incomprĂ©hensibles, mĂȘme dans leur contexte, pour des lecteurs amĂ©ricains. J’ai Ă©tĂ© critiquĂ©e par des Ă©crivains britanniques sur le fait d’autoriser le moindre changement mais j’ai le sentiment que cet argument finirait par dĂ©boucher sur le fait de dire aux enfants français et danois que Harry Potter ne serait pas traduit, et que donc ils feraient mieux d’apprendre l’anglais. Le changement du titre Ă©tait Ă  l’origine une idĂ©e d’Arthur car il pensait que le titre britannique donnerait une mauvaise idĂ©e du contenu. Nous avons discutĂ© de plusieurs diffĂ©rents autres titres et “Sorcerer’s Stone” Ă©tait mon idĂ©e. A-t-il toujours Ă©tĂ© dans vos intentions d’étaler l’histoire de Harry sur plusieurs livres ? Et si oui, combien de livres ? JKR J’ai toujours conçu cette sĂ©rie comme comportant sept livres parce que j’avais dĂ©cidĂ© que cela prendrait sept ans de l’ñge de 11 ans jusqu’à l’ñge de 17 ans pour former un sorcier, et que chaque livre correspondrait une annĂ©e de Harry Ă  Poudlard. Aucune information que vous pourriez nous donner sur ce qui attend Harry dans les prochains livres ? JKR Le thĂšme rĂ©current dans les sept livres est le combat entre le bien et le mal, et je crains qu’il n’y ait des pertes ! Les enfants me demandent gĂ©nĂ©ralement de ne pas tuer Ron chaque fois que je leur dis cela ils ont l’air de penser qu’il est le plus vulnĂ©rable, sans doute parce qu’il est le meilleur ami du hĂ©ros ! Interview donnĂ©e par Scholastic 3 fĂ©vrier 2000 Sch1 Avez-vous construit chaque aspect de l’intrigue en commençant par Ă©tablir les personnages et en sachant exactement ce que vous vouliez faire avec eux, ou bien l’avez-vous construite en grande partie au fur et Ă  mesure que vous Ă©criviez ? J’ai toujours un fil rouge, mais j’aime que certaines choses se dĂ©cident quand j’écris. C’est plus amusant. - Comment Harry Potter vous est-il venu Ă  l’esprit ? Harry a simplement dĂ©boulĂ© dans ma tĂȘte au cours d’un voyage en train. Il est arrivĂ© entiĂšrement formĂ©. C’était comme si je le rencontrais pour la premiĂšre fois. Ecrivez-vous tous les jours, et pendant combien de temps ? J’écris presque tous les jours. Il y a des jours au cours desquels j’écris pendant dix ou onze heures. D’autres jours je n’écris que pendant trois heures. Cela dĂ©pend de la vitesse Ă  laquelle les idĂ©es arrivent. Pourquoi avez-vous choisi un Ă©clair comme marque pour Harry ? Juste parce que j’ai dĂ©cidĂ© que ce serait une marque distinctive intĂ©ressante. Ecrivez-vous toujours dans les cafĂ©s ou bien devez-vous Ă©viter les endroits publics quand vous Ă©crivez afin de ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©e par les gens ? J’écris toujours dans les cafĂ©s mais je vais dans d’autres cafĂ©s, maintenant ! Interview donnĂ©e par Scholastic 16 octobre 2000 Sch2 J’ai l’impression que les Harry Potter deviennent en quelque sorte plus “sombres”. Est-ce parce qu’il grandit, et que ses lecteurs font de mĂȘme ? En vĂ©ritĂ©, c’est parce que Voldemort devient plus puissant, mais oui, Harry a quatorze ans maintenant. A quatorze ans, vous commencez Ă  comprendre que le monde n’est pas un endroit sĂ»r et protĂ©gĂ©, en tout cas pas toujours. Pouvez-vous donner l’exemple d’une surprise survenue pendant que vous Ă©criviez, telle que l’apparition d’un personnage que vous n’attendiez pas ? Oui, cela a Ă©tĂ© une grande surprise pour moi que Maugrey Fol OEil Ă©volue de cette maniĂšre. Je l’aime beaucoup. Je ne m’attendais pas Ă  cela. Comment avez-vous eu l’idĂ©e de toutes ces choses spĂ©ciales qui arrivent Ă  Harry ? Quelquefois, l’idĂ©e me vient comme ça. D’autres fois, je dois suer et presque saigner pour que l’idĂ©e vienne. C’est un processus mystĂ©rieux, mais j’espĂšre que je ne dĂ©couvrirai jamais comment il fonctionne exactement. J’aime le mystĂšre, comme vous avez pu le remarquer. Avez-vous parfois le syndrome de la page blanche ? Que faites-vous quand cela arrive ? Je n’ai souffert terriblement du syndrome de la page blanche qu’une seule fois, pendant que j’écrivais la Chambre des Secrets. J’avais eu ma premiĂšre explosion de publicitĂ© Ă  propos du premier livre et cela me paralysait. J’avais peur que le deuxiĂšme ne soit pas Ă  la hauteur, mais je l’ai fait ! Y a-t-il un passage que vous prĂ©fĂ©rez dans vos livres ? Difficile Ă  dire. J’aime le chapitre 12 de L’Ecole des Sorciers Le Miroir du RisĂ©d, et je suis fiĂšre de la fin de La Coupe de Feu. Comment avez-vous eu l’idĂ©e d’envoyer Harry dans une Ă©cole de sorciers ? L’idĂ©e qui m’est venue d’abord Ă©tait celle d’un garçon qui ne savait pas qu’il Ă©tait un sorcier jusqu’à ce qu’il reçoive une invitation pour une Ă©cole de sorciers, si bien qu’il n’a jamais Ă©tĂ© question que Harry aille ailleurs ! Est-ce que l’énorme popularitĂ© de Harry Potter a changĂ© la direction gĂ©nĂ©rale donnĂ©e Ă  l’intrigue ? Non, pas du tout. Des gens m’ont demandĂ© si Rita Skeeter avait Ă©tĂ© inventĂ©e dans ce but, mais en fait je l’avais toujours planifiĂ©e. Je pense cependant que j’ai mieux aimĂ© Ă©crire sur elle que je ne l’aurais fait si je n’avais pas rencontrĂ© autant de journalistes ! Avez-vous Ă©crit Harry Potter parce que vous aimez les livres de fantasy ou bien simplement parce que l’idĂ©e vous en est venue ? Le second. En fait, je ne suis pas une grande fan de fantasy et je ne lis jamais de rĂ©cits de fantasy ! il semblerait nĂ©anmoins qu’elle lise et relise souvent Le Seigneur des Anneaux
 Vous reprĂ©sentez-vous les images, les scĂšnes dans votre tĂȘte avant de les Ă©crire ou bien devez-vous les dessiner ? Je les imagine trĂšs clairement et ensuite j’essaie de dĂ©crire ce que je vois. Parfois je les dessine pour m’amuser ! Quel livre fut le plus drĂŽle Ă  Ă©crire ? Le Prisonnier d’Azkaban, sans aucun doute. Mais cela ne signifie pas nĂ©cessairement qu’il est mon livre prĂ©fĂ©rĂ©. Je les aime tous, mais bizarrement, les deux plus difficiles Ă  Ă©crire, La Chambre des Secrets et La Coupe de Feu, sont mes prĂ©fĂ©rĂ©s. Cela vous plaĂźt-il d’ĂȘtre Ă©crivain ? J’adore ĂȘtre un Ă©crivain. J’ai vraiment beaucoup de chance que l’ambition de ma vie se rĂ©vĂšle apporter autant de plaisir que ce que je m’imaginais.

Mononcle, pardon, mon pÚre a juste un peu rùlé une fois, lorsque son mari m'a offert..( alors que j'étais encore qu'en embryon de 6 mois en gestation dans le ventre de Chantelle ma mÚre) un bracelet en diamant avec mon prénom incrusté de saphirs. Mon pÚre, pardon, mon oncle a voulu le rendre, mais ma mÚre s'est interposée, sa petite fille avait droit à ce qu'il avait
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Le pauvre, j'espĂšre qu'il ne s'ennuiera pas trop s'ennuyer sans moi, toute la journĂ©e... Cet Ă©tĂ© fut le meilleur Ă©tĂ© de ma vie. AprĂšs m'ĂȘtre encore une fois durement disputĂ©e avec mon pĂšre, j'ai Ă©tĂ© envoyĂ©e en punition chez mon oncle, le Seigneur AurĂšle. Je ne pouvais rĂȘver mieux! Certes, j'avais dĂ» dire au revoir Ă  mes amis du collĂšge d'Essealis, la Capitale Blanche du Royaume de Thargione... Mais en Ă©change de ce sacrifice, j'avais gagnĂ© la libertĂ©! Mon oncle AurĂšle avait toujours vu en moi le reflet de ma mĂšre, sa petite sƓur, et me laissait faire beaucoup de chose que je n'aurais pas pu dans mon ancienne ville. LĂ , dans la petite bourgade de Keveal, bordĂ©e de bois et de lacs, j'ai pu passer un Ă©tĂ© formidable Ă  courir Ă  travers champs comme je le voulais. Raven et moi rentrions le soir, crottĂ©s de la tĂȘte aux pattes et aucune gifle ne m'accueillait alors. J'avais passĂ© mes journĂ©es en compagnie des animaux des bois et mes nuits Ă  dormir Ă  la belle Ă©toile au bord de l'eau, rentrant Ă  l'heure que je voulais et mangeant ce qui me faisait plaisir. Mais l'Ă©tĂ© Ă©tait fini et, afin d'apprendre enfin Ă  me comporter correctement, j'avais Ă©tĂ© inscrite Ă  l'Ă©cole de Chevalerie de Thargione. Nul ne sait ce qu'il se passe entre ces murs, car les Chevaliers et Ecuyers sont tenus au Secret de leur apprentissage... Je n'avais pas spĂ©cialement envie d'y aller car c'Ă©tait mon pĂšre qui avait dĂ©terminĂ© cet avenir qui semblait dĂ©jĂ  tout tracĂ© pour moi. Je grinçais des dents en repensant Ă  lui qui voulait toujours tout dĂ©cider Ă  ma place. Jamais rien de ce que je faisais ne lui plaisait ou n'Ă©tait assez bien... Mais quand mon oncle, en m'accueillant le premier jour, m'avait fait un clin d'Ɠil malicieux en Ă©voquant cette Ă©cole, mon intĂ©rĂȘt s'Ă©tait tout de suite Ă©veillĂ©. Car j'avais dĂ©jĂ  vu des Chevaliers de Thargione ils Ă©taient beaux, fiers, puissants, sĂ»rs d'eux... Et c'Ă©tait bien cela le problĂšme. Je n'avais rien en commun avec eux, et je ne comprenais pas pourquoi mon pĂšre tenait tant Ă  m'y faire entrer. SĂ»rement une nouvelle maniĂšre de m'inculquer son sens de la discipline. Je me regardai dans mon grand miroir en pied. Comme d'habitude, ce que j'y voyais ne me plaisait pas. J'Ă©tais banale. De taille moyenne, ni grosse ni mince, au visage ordinaire et aux yeux d'un ennuyeux marron... Je me sentais insipide. On ne pouvait pas dire que j'Ă©tais laide, non... Enfin, c'est ce que disaient mes amis d'Essealis, qui me complimentaient rĂ©guliĂšrement sans que je n'y croie. Non, moi je me sentais toujours aussi insignifiante. La seule chose qui me plaisait chez moi c'Ă©taient mes cheveux. Les mĂȘmes que ceux de ma mĂšre. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs d'elle; elle est morte quand j'Ă©tais petite, sans que je sache vraiment comment, me laissant seule avec mon pĂšre. " Il n'aime pas me parler d'elle. Il n'aime pas me parler de toute façon, pensais-je ensoupirant. " Saraphia, ma mĂšre... Il ne me reste d'elle que des peintures et quelques aquarella de lumiĂšre oĂč elle pose, si Ă©lĂ©gante et distinguĂ©e avec ses cheveux rouges tombant en cascade sur ses Ă©paules. Je contemplai une derniĂšre fois en lui souriant le petit portrait d'elle que je porte toujours en mĂ©daillon. Elle avait l'air tellement sĂ»re d'elle sur cette toute petite image, j'aurais aimĂ© qu'elle me transmette sa force de caractĂšre et son courage. Sortant finalement de mes rĂȘveries, j'attrapais mes vĂȘtements et m'habilla en vitesse, me passais un vague coup de brosse dans mes cheveux flamboyants et courus jusqu'Ă  la porte de ma chambre. " Souhaite-moi bonne chance Raven! " ✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧✧ RĂ©sumĂ©: Je m'appelle Marianne Lily Potter et c'est mon secret. L'annĂ©e de mes 8 ans a Ă©tĂ© bouleversante. J'ai dĂ©couverts que mes parents Ă©taient vivant, que j'Ă©tais une sorciĂšre et surtout pourquoi je devais me faire passer pour un garçon. Vous voulez le savoir vous aussi ? Alors venez lire mes aventures et celles de ma famille et de mes amis. La nouvelle gĂ©nĂ©ration
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RĂ©sumĂ©de l'histoire "La Reine de pique" par A. Pouchkine par chapitres: l'histoire de Tomsky, le plan d'Hermann, la romance avec Lisa, la mort de la comtesse et son apparition dans un rĂȘve, le secret de trois cartes, une sĂ©rie de chance et une perte fatale.
Jane Eyre de BrontĂ« C. Personnages principaux Mrs Reed Bessie Eliza Reed John Reed Georgina Reed Jane Eyre Mr Lloyd Mr Brocklehurst Miss Temple Miss Miller Miss Smith Miss Scatcherd Mrs Pierrot Helen Burns Mrs Fairfax Leah John AdĂšle Varens Mr Rochester Edward Fairfax Grace Poole Blanche Ingram Mr Mason Briggs Bertha Mason Mr Eyre, oncle de Jane Hannah Diana Mary Mr Saint-John Rivers Miss Rosamond Oliver RĂ©sumĂ© par chapitres Chapitre 1 Jane est martyrisĂ©e par la famille Reed, elle vit Ă  leurs dĂ©pens. Chapitre 2 Elle est enfermĂ©e dans la chambre rouge lĂ  oĂč est mort son oncle et protecteur. Elle a trĂšs peur car elle croit voir un fantĂŽme. Mrs Reed ne la croit pas et la rejette brutalement. Jane s’évanouie. Chapitre 3 L’apothicaire convainc Mrs Reed de faire envoyer Jane en pension. Celle-ci en est contente. Elle est fille de pasteur. Chapitre 4 Elle rencontre l’homme qui la fera entrer Ă  Lowood. Mrs Reed ne dit que du mal d’elle. Jane se rebelle et a sa premiĂšre victoire sur Mrs Reed. Bessie et elle sont presque amies. Chapitre 5 ArrivĂ©e et description de la premiĂšre journĂ©e Ă  Lowood. Ecole trĂšs sĂ©vĂšre. Elle a liĂ© contact avec une autre fille plus vieille. Chapitre 6 Jane s’intĂ©resse beaucoup Ă  Helen Burns qui, malgrĂ© tout ce qu’elle subit, prĂŽne le pardon au lieu de la vengeance ce que ne comprend pas Jane. Chapitre 7 Le prĂȘtre vient, et, aprĂšs s’ĂȘtre ridiculisĂ© en prĂŽnant des choses que sa famille ne respecte pas, a humiliĂ© Jane en dĂ©voilant Ă  tous ce qu’avait dit Mrs Reed. Chapitre 8 Jane est consolĂ©e par Helen et Miss Temple. Elle est lavĂ©e de toutes les accusations. Elle travaille bien et est heureuse Ă  Lowood. Chapitre 9 Lowood est touchĂ© par une Ă©pidĂ©mie de typhus. Helen est trĂšs malade et finit par mourir. Jane a une autre amie. Chapitre 10 Elle devient institutrice Ă  Lowood. Au dĂ©part de Miss Temple, elle dĂ©cide de quitter Lowood pour une autre place. Elle retrouve Bessie qui lui donne des nouvelles des Reed et lui dit que la famille Eyre n’est peut-ĂȘtre pas si mĂ©prisable. Chapitre 11 ArrivĂ©e de Mrs Fairfax. Rencontre avec AdĂšle et histoire des deux femmes. C’est un palace aux yeux de Jane. Tout y semble magnifique. Chapitre 12 Elle s’ennuie de sa vie bien rĂ©glĂ©e. Elle part poster une lettre et donne son aide Ă  un homme un peu ronchon qui s’avĂšre ĂȘtre Mr Rochester, son maĂźtre. Chapitre 13 Mr Rochester interroge Jane pour voir ses capacitĂ©s. Il est Ă©trange. Chapitre 14 Mr Rochester veut parler avec Jane qu’il trouve intĂ©ressante. Il est trĂšs bizarre. Il se confie Ă  Jane et va surement continuer Ă  le faire. Chapitre 15 Jane a sauvĂ© la vie de Mr Rochester en l’empĂȘchant de mourir brĂ»lĂ©. Chapitre 16 Jane se croit proche de Mr Rochester aprĂšs l’incendie. Elle est Ă©tonnĂ©e du calme de Grace Poole qu’elle croit coupable de cet acte. Elle revient Ă  la raison concernant ses liens avec Mr Rochester. Chapitre 17 Retour de Mr Rochester avec plein d’hĂŽtes. Il semble ne pas voir Jane et pourtant il s’en soucie. Il y a un mystĂšre autour de Grace Poole qu’on lui cache. Chapitre 18 Occupation lors de la pluie ou de l’absence de Mr Rochester. Jane est amoureuse de lui. ArrivĂ©e de Mr Mason. La bohĂ©mienne est intrigante, qu’a-t-elle dit Ă  Blanche ? Chapitre 19 La bohĂ©mienne veut voir Jane. Elle essaye de la faire parler. Il s’agit en fait de Mr Rochester. Il semble avoir peur de Mason. Chapitre 20 Mason s’est fait agressĂ© par Grace Poole. Pourquoi ne la vire-t-on pas ? Mason est renvoyĂ© ». Jane veille avec Mr Rochester. Est-il amoureux d’elle ? Il va se marier avec Blanche Ingram. Chapitre 21 ArrivĂ©e Ă  Gateshead, personne ne lui fait un bel accueil. John Reed s’est suicidĂ©. Sa mĂšre va mourir aprĂšs avoir dit Ă  Jane qu’elle avait un oncle trĂšs riche. Chapitre 22 Jane est heureuse de retourner Ă  Thornfield-Hall. Qu’en est-il du mariage de Mr Rochester avec Miss Ingram ? Chapitre 23 Mr Rochester demande Ă  Jane de l’épouser. Celle-ci, aprĂšs avoir Ă©tĂ© sceptique, finit par accepter. Le bonheur est au rendez-vous. Chapitre 24 Mrs Fairfax, Ă  l’annonce du mariage, est inquiĂšte pour Jane. Ils ne sont pas du mĂȘme monde. Jane tient son futur Ă©poux dans sa main. Elle fait tout pour lui dĂ©plaire afin de tester son amour. Chapitre 25 Jane raconte Ă  Mr Rochester la nuit agitĂ©e qu’elle a eu qui est la cause de son Ă©tat, la veille du mariage. Est – ce Grace Poole qui a dĂ©chirĂ© le voile ? Chapitre 26 Le mariage est annulĂ©. Mr Rochester est dĂ©jĂ  mariĂ© avec la sƓur de Mason. Elle est folle et sauvage. C’est Grace Poole qui la garde. C’est elle qui a fait tous les dĂ©gĂąts. Chapitre 27 Mr Rochester montre tout son amour pour Jane sans rĂ©ussir Ă  la convaincre de rester. DĂ©part furtif de Jane pour l’inconnu. Chapitre 28 errance de Jane dans les rues du village. Elle est recueillie par Mr Saint John et ses sƓurs Diana et Mary Rivers. Chapitre 29 L’accueil des Rivers est trĂšs charitable. Jane rĂ©pond Ă  leurs questions de façon trĂšs honnĂȘte sans tout leur dire. Saint-John promet de l’aider. Chapitre 30 Elle est heureuse avec Diana et Mary. Elle sera l’institutrice du village de Morton. Saint-John va quitter le village. Chapitre 31 Premier jour comme institutrice. Boulot pas facile. Regrets ? Visite de Saint-John. Rencontre avec Miss Oliver. Chapitre 32 AmitiĂ© avec Miss Oliver. Jane lui fait son portrait. Elle est persuadĂ©e que Saint-John aime Miss Oliver mais il veut absolument ĂȘtre missionnaire. Chapitre 33 Saint-John apprend Ă  Jane qu’elle est en fait sa cousine et qu’elle a hĂ©ritĂ© 20000 livres qu’elle dĂ©cide de partager en 4. Chapitre 34 Saint-John rĂ©ussit Ă  le convaincre de partir avec lui mais elle refuse de l’épouser. Chapitre 35 Saint-John est en colĂšre contre Jane. Diana la supplie de refuser. Jane finit par cĂ©der quand elle entend la voix de Mr Rochester. Chapitre 36 Jane part Ă  la recherche de Mr Rochester. Il est devenu aveugle Ă  cause de l’incendie qui a dĂ©truit Thornfield- Hall. Berthe est morte. Chapitre 37 Jane et Mr Rochester se retrouvent. Ils s’aiment toujours. Ils vont se marier. Chapitre 38 Tout se finit bien. Les deux jeunes mariĂ©s ont un enfant. Mr Rochester a recouvrĂ© la vue.
NoéPetit, un garçon solitaire, apprend que le frÚre de son pÚre, Armand, qui vient de mourir, était sans domicile fixe. Il se plonge dans sa correspondance et cherche à comprendre qui était cet oncle dont il ignorait l'existence en interrogeant l'ensemble de son entourage.
On fĂȘte cette annĂ©e en Provence les 120 ans de la naissance de Marcel Pagnol c'est l'occasion de relire ses cĂ©lĂšbres "Souvenirs d'enfance" et de partager ces lectures en famille. Un pur dĂ©lice Ă  dĂ©guster sur la chaise longue en Ă©coutant les cigales. Ambiance impossible Ă  dĂ©crire ! Écrit au milieu des annĂ©es 50, alors que Marcel Pagnol s'Ă©tait Ă©loignĂ© du théùtre, ce premier tome paru en 1957, a Ă©tĂ© aussitĂŽt saluĂ© par les critiques. Jean-Louis Chiabrando dans son essai intitulĂ© "Ces acteurs qui ont fait Pagnol" explique comment Pagnol s'est retrouvĂ© coincĂ© par la femme d'un ami qui travaillait pour le Journal "Elle", Ă  qui il avait promis d'Ă©crire sur son enfance. Elle a bien fait de l'obliger Ă  le faire et de publier les premiers chapitres dans son journal ! Dans "La gloire de mon pĂšre", Marcel Pagnol nous raconte les premiers souvenirs de sa toute petite enfance Ă  Aubagne oĂč son pĂšre a eu son premier poste d'instituteur et dont le petit Marcel ne gardera que peu de traces car, bien qu'il y soit nĂ©, il n'y a vĂ©cu que jusqu'Ă  3 ans. Puis il nous dĂ©crit sa vie de petit Ă©colier marseillais d'il y a un peu plus d'un siĂšcle. Lorsque son pĂšre Ă©tait instituteur Ă  Saint-Loup maintenant un quartier de Marseille leur appartement de fonction jouxtant la classe, sa mĂšre le laissait souvent au milieu des autres Ă©coliers, lorsqu'elle devait s'absenter. Un jour, alors que son pĂšre Ă©crit au tableau, il dĂ©couvre, non sans fiertĂ© que le petit Marcel a appris Ă  lire tout seul. Mais sa mĂšre pense qu'il va tomber malade et que son cerveau risque d'Ă©clater et lui interdit l'entrĂ©e de la classe et la lecture jusqu'Ă  ce qu'il ait 6 ans ! Puis son pĂšre est nommĂ© Ă  Marseille dans la plus grosse Ă©cole communale... L'auteur nous parle longuement de son cocon familial de Joseph son pĂšre, son hĂ©ros, instituteur profondĂ©ment laĂŻque ; de la timide Augustine, petite couturiĂšre toujours lĂ  pour lui et qu'il aime profondĂ©ment ; de sa tante Rose, la soeur de sa mĂšre qui l'aime de tout son coeur et le garde souvent ; puis de son oncle Jules. On apprend comment Rose rencontra l'oncle Jules... Les jeudis et parfois les dimanches, sa tante Rose l'emmĂšnait au parc BorĂ©ly un grand parc bien connu des marseillais. Pour lui c'Ă©tait une expĂ©dition et une aventure le parc est grand, l'Ă©tang est rempli de canards. Sa tante Rose y fait la connaissance du "directeur" ce qui permet Ă  Marcel de bien s'amuser. Il s'avĂšrera que le directeur est en fait un vrai menteur, amoureux de la tante et qui deviendra l'oncle Jules qui s'appelait en rĂ©alitĂ© Thomas mais je ne vais pas vous raconter pourquoi sa chĂšre Rose l'a obligĂ© Ă  changer de nom lorsqu'elle l'a Ă©pousĂ©.... Il nous parle aussi de Paul et de leurs jeux, de la naissance de sa petite soeur Germaine derniĂšre nĂ©e de la famille... Parce qu'Augustine est de santĂ© fragile, l'oncle Jules et Joseph loue dans la campagne une maison au milieu de la garrigue, prĂšs du village de la Treille la Bastide neuve, qui n'a de neuve que le nom mais de grandes chambres pour tous et une belle cheminĂ©e. La recherche de meubles chez le brocanteur marseillais, leur rĂ©novation, puis le dĂ©mĂ©nagement le long des chemins de campagne donnent des chapitres Ă  la fois drĂŽles et Ă©mouvants. Le lecteur n'a aucun mal Ă  imaginer la scĂšne ! Ensuite bien sĂ»r vient le rĂ©cit des vacances passĂ©es lĂ -bas, de la libertĂ©, des senteurs de la garrigue et de la prĂ©paration de la premiĂšre chasse Ă  la bartavelle...qui fera la gloire de Joseph, son pĂšre d'oĂč le titre. C'est une vraie, belle et authentique histoire d'enfance emplie de soleil, du chant des cigales et de ses mots en provençal qui ont bercĂ© mon enfance sous le figuier du jardin...car cette enfance que Pagnol raconte est un peu celle de mes grands-parents. Quelques phrases cĂ©lĂšbres... "Je suis nĂ© dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronnĂ© de chĂšvres, au temps des derniers chevriers" "Le plus remarquable, c'est que ces anticlĂ©ricaux = les instituteurs normaliens ndlr avaient des Ăąmes de missionnaires. Pour faire Ă©chec Ă  "Monsieur le CurĂ©", ils vivaient eux-mĂȘme comme des saints et leur morale Ă©tait aussi inflexible que celle des premiers puritains. M. l'inspecteur d'AcadĂ©mie Ă©tait leur Ă©vĂȘque, M. le Recteur, l'archevĂȘque, et leur pape, c'Ă©tait M. le ministre on ne lui Ă©crit que sur grand papier, avec des formules rituelles" p. 20 "Il Ă©tait bien joli ce chemin de Provence. Il se promenait entre deux murailles de pierres cuites par le soleil, au bord desquelles se penchaient vers nous de larges feuilles de figuier, des buissons de clĂ©matites et des oliviers centenaires. Au pied des murs , une bordure d'herbes folles et de ronces, prouvait que le zĂšle du cantonnier Ă©tait moins large que le chemin." "... j'avais comptĂ© sans la malice des choses. Les chemins qu'on laisse derriĂšre soi en profitent pour changer de visage. Le sentier qui partait sur la droite a changĂ© d'idĂ©e au retour, il s'en va vers la gauche...Il descendait par une pente douce le voilĂ  qui monte comme un remblai, et les arbres jouent aux quatre coins." p. 183 "Alors me revint en mĂ©moire une phrase que mon pĂšre rĂ©pĂ©tait souvent et qu'il m'avait fait copier plusieurs fois quand il me donnait des leçons d'Ă©criture cursive, ronde, bĂątarde "Il n'est pas besoin d'espĂ©rer pour entreprendre ni de rĂ©ussir pour persĂ©vĂ©rer" "J'avais surpris mon cher surhomme en flagrant dĂ©lit d'humanitĂ© je sentis que je l'en aimais davantage" "Ce n’est pas de moi que je parle, mais de l’enfant que je ne suis plus." Ce livre a fait l'objet d'un film d'Yves Robert paru en 1990. Le scĂ©nariste rĂ©alisa en mĂȘme temps l'adaptation de "la gloire de mon pĂšre" et du "ChĂąteau de ma mĂšre". les deux films sont sortis Ă  quelques semaines d'Ă©cart. Dans ces deux films - Joseph, le pĂšre de Marcel est interprĂ©tĂ© par Philippe CaubĂšre. - Augustine, sa mĂšre, par Nathalie Roussel. - Oncle Jules , par Didier Pain. - La tante Rose, par ThĂ©rĂšse Liotard, rĂŽle qui lui a valu le CĂ©sar de la meilleure actrice dans un second rĂŽle. - Marcel enfant est interprĂ©tĂ© par Julien Ciamara. - Paul par Victorien Delamare. - Le pĂšre de Lili des Bellons que Marcel rencontre au dĂ©but du "ChĂąteau de ma mĂšre" mais que nous connaissons dĂšs le premier tome, est interprĂ©tĂ© par Pierre Maguelon. - Lili est interprĂ©tĂ© par Joris Molinas. Des passages du texte de Pagnol sont prononcĂ©s en voix off par le comĂ©dien Jean-Pierre Darras. En 1991, Vladimir Cosma a obtenu pour ce film le CĂ©sar de la meilleure musique et AgnĂšs NĂ©gre, le CĂ©sar des meilleurs costumes. Enfin, Philippe Uchan qui joue le rĂŽle de Bouzigue dans le "ChĂąteau de ma mĂšre" a obtenu le CĂ©sar du meilleur espoir masculin. Comme le petit Marcel qui avait la passion des mots et les collectionnaient dans son petit carnet, laissons nous emporter par la magie de quelques mots appartenant au rĂ©pertoire provençal...que d'ailleurs Pagnol, pour la plupart, explique dans le texte. la larmeuse c'est un petit lĂ©zard gris. le pregadiou = la mante religieuse qu'on appelle aussi "prie-dieu". le la pitchounette= c'est le terme affectueux pour dĂ©signer le petit enfant. la pile = c'est l'Ă©vier en pierre parler typiquement marseillais. la baouco = ce sont les herbes sauvages qui poussent dans la garrigue et qui ont des tiges dures que seules les chĂšvres peuvent manger. le pĂšbre d'aĂŻ = c'est le nom donnĂ© Ă  une renouĂ©e sauvage inutilisable en cuisine. Pagnol parle je pense du "pebre d'Ăąne" = la sarriette qui ressemble au thym par son utilisation culinaire. le cabridan = sans doute Pagnol entendait ce nom-lĂ  quand ses parents parlaient du cabrian = le frelon. Comme tous les enfants ils transformaient certains mots. Lire Ă  ce sujet le chapitre p 114-116 oĂč Pagnol retrace les vives discussions entre Jules et son pĂšre et oĂč il est question des "radicots" et des "framassons"... Enfin, vous trouverez une petite biographie de l'auteur sur mon blog ainsi que les titres de ses autres livres et de brefs rĂ©sumĂ©s.
Jene savais si c'Ă©tait les Ă©toiles qui tombaient ou bien si c'Ă©tait moi qui allais trop vite. Enfin, j'atterris misĂ©rablement sur le trottoir d'une ville qui me semblait ĂȘtre Paris. Je me levai en titubant avant de partir vomir dans les caniveaux. Le voyage Asgard-Midgard ne me rĂ©ussissait jamais vraiment. Venant s'ajouter Ă  mon calvaire, une violente averse s'abattit sur Le 2/02/2022 message internet Cher William, Je viens de refermer ce magnifique rĂ©cit et voilĂ , je te transmets mon ressenti Ă  chaud ! Tes mots sont d’une puissance Ă©vocatrice incroyable j’ai rĂ©ellement partagĂ© avec ta famille et tes proches tous les moments que tu dĂ©tailles si bien. Tes descriptions poĂ©tiques sont touchantes et tes explications historiques m’ont appris beaucoup de choses que je connaissais superficiellement. C’est un vĂ©ritable hommage Ă  tes ancĂȘtres et Ă  ceux de beaucoup de Pieds-Noirs. Et surtout, de merveilleux souvenirs Ă  transmettre. Bravo pour ton travail de recherches et pour le talent avec lequel tu as racontĂ© les aventures, oui, ce sont bien d’extraordinaires aventures, de ces gens simples qui ont Fait l’histoire ! Ton rĂ©cit m’a beaucoup touchĂ© car j’y ai trouvĂ© de nombreuses similitudes avec l’histoire de mes ancĂȘtres. Eux aussi ont quittĂ© Almeria, fuyant la misĂšre et la faim. Je ne connais pas leur nom, hĂ©las. Pourquoi n’ai-je pas pris des notes lorsque Maman me racontait tout ça ? Insouciance de la jeunesse, je pensais que j’aurais le temps de lui redemander !! En fait, je croyais Maman Ă©ternelle
 MalgrĂ© tout, je me souviens qu’elle me disait que cette famille s’était rĂ©fugiĂ©e en AlgĂ©rie et, au dĂ©but, travaillait comme “muletiers”, se louant, eux et leurs mulets, au transport de matĂ©riaux divers et variĂ©s. Mes grands-parents, Joseph et Mathilde Ortega, vivaient Ă  Oran, dans un quartier qu’elle nommait La Marine. Mon grand-pĂšre pilotait un petit remorqueur, ma grand-mĂšre Ă©tait couturiĂšre, mes oncles travaillaient Ă  l’arsenal. C’était une famille simple et aimante. Maman a vĂ©cu une enfance heureuse comme celle que tu as vĂ©cue ! Et puis, il y a eu le “Drame de Mers El KĂ©bir”. Mon pĂšre Ă©tait marin sur le CuirassĂ© Dunkerque
 Pas besoin de rentrer dans les dĂ©tails, tu connais l’histoire
 La famille Ortega a recueilli le jeune rescapĂ© Pierre Mauduit et il a Ă©pousĂ© ma mĂšre ! Leurs 2 aĂźnĂ©s sont nĂ©s Ă  Oran puis ils sont partis en France, 10 ans avant les â€œĂ©vĂšnements”. Si bien que leurs 3 enfants suivants y sont nĂ©s, dont moi, la petite derniĂšre ! VoilĂ  en rĂ©sumĂ© ma petite histoire familiale ! Je t’en raconterai plus une prochaine fois ! Merci encore pour ce beau rĂ©cit ! Bisous, Nadia Le 23/03/2021 message sur le blog Bonjour, J’ai habitĂ© la Maison Riccio et je me souviens de vous. Je suis la fille de Madame ORTS Aline; J’ai Ă©tĂ© heureuse de trouver votre site et de voir cette photo de l’endroit oĂč je vivais. Cordialement Henriette Le 19/03 message sur FB J’ai adoooooooooré . j’ai retrouvĂ© Ă  travers ce livre mes grands-parents et leur parcours, nos traditions et coutumes
notre foi en nous malgrĂ© les Ă©preuves.. fille et petite-fille de PATA NEGRA ET FIÈRE DE L’ÊTRE. Le 3/08 MessengerJe suis enchantĂ© de pouvoir vous dire que je suis originaire de Mosta rue LapĂ©rouse 2 ou 3 rues au dessus de la rue J Bart oĂč vous habitiez. je viens de lire votre dernier livre qui m’a fait revivre mon enfance et mon adolescence. je suis un peu plus ĂągĂ© que vous nĂ© en 41 mais tout ce que vous relatez est rĂ©el et mĂȘme l’origine de mes grands parents est semblable Ă  la votre Macael province d’AlmĂ©ria merci ! Au plaisir d’autres Ă©changes Ă©pistolaires. AndrĂ© Le 26/07 Iphone Je viens de terminer le livre de William . J’ai mis du temps Ă  cause de mes yeux mais quel bonheur ! Je me suis fondue dans une famille pleine d’amour de gĂ©nĂ©rositĂ© de foi et de partage. Bravo de nous faire partager ça. La fin est trĂšs touchante et vous avez eu tous les trois beaucoup de mĂ©rite et ta maman beaucoup de chance. J’ai l’impression d’ĂȘtre entrĂ©e un peu dans la famille. 
. VoilĂ  je tenais Ă  te le dire. Josiane Le 23/07 Messenger Coucou William, j’ai lu ton livre avec grand plaisir
.tu as bien retranscrit ton vĂ©cu la-bas. Beau tĂ©moignage
.On s’y croirait !!!! Bises. Maria Le 7/07/2020 FB On ne peut que partager dans ce roman tous les pieds noirs se retrouvent, les souvenirs enfouis refont surface, ça laisse un vague Ă  l’ñme trĂšs agrĂ©able et Ă  la fois nostalgique de notre enfance on aime et je partage. Josiane Le 6/07/2020 FB J’ai Ă©tĂ© un des premiers lecteurs de La mĂ©nagĂšre rouge » 
 C’est un titre un peu bizarre de prime abord ; mais franchement je me suis rĂ©galĂ© en lisant ce roman et je l’ai dĂ©vorĂ© !!! sans exagĂ©rer , bien sĂ»r 
 Le 2/07 SMS J’ai fini ton livre magnifique et Ă©mouvant ! Encore bravo Ă  toi 👍😘 Florence Le 28/06 Ă©-mail Bonjour mon cher cousin William,Que d’émotions Ă  la lecture de ton livre et de savoir que je ne connaissais pas Ă  ce cousin pour ta recherche sur nos anciens. Tu as consacrĂ© certainement un temps considĂ©rablemais tu as aujourd’hui une raison de plus de vivre pleinement ta lignes

Ton livre Ă©tait fermĂ©, j’en ai ouvert les pages,Sa couverture ne jaunira pas avec les ans,Tes pensĂ©es enfermĂ©es derriĂšre des grillagesAttendaient le moment pour renaĂźtre du s’est animĂ©e ta plume,Elle a couru, rempli tes lignes de cahier,Un peu comme une flamme qui dans la nuit s’allume,Ta lumiĂšre a jailli du fond de l’ tu as su parler de tout, de tes problĂšmes,De tes joies, de ton cƓur, et de tes traits d’humour,LibĂ©ration de l’ñme, en tes matins bohĂšmes,Et tes mots souriaient sans le moindre livre s’est ouvert pour libĂ©rer tes chaĂźnesUn Ă  un ses feuillets se comptent par dizaine,Il a suffi d’un souffle pour les faire revivre,Et d’un rien pour les faire si jamais un jour Ă  l’encre de tes veines,Tu t’en iras chercher au fond de ta mĂ©moire,Ce qui faisait d’un rien ton sublime Ă©critoire,La vie sera enfin ta mon trĂšs cher Cousin, je te souhaite Ă  toi et Ă  ta grande familleune bonne journĂ©e , en vous embrassant trĂšs MERCI, pour la MÉNAGÈRE ROUGE. Le 25/06 Messenger Merci mon grand cousin 😉. Je te l’ai pas encore dit mais la MĂ©nagĂšre Rouge m’a fait du bien. J’ai pu combler un pan manquant de notre histoire Ă  tous et trĂšs belle journĂ©e Le 20/06 Iphone Et je peux ajouter l’accueil violent de la part des français mĂ©tro
. Ça me rappelle qd tonton et maman sont arrivĂ©s en France dans le camp et qu’ils ont Ă©tĂ© dĂ©pouillĂ©s des qqs valeurs qu’ils avaient. Mais pour William et sa famille, ce devait ĂȘtre cauchemardesque d’ĂȘtre traitĂ©s comme des Moutou voisine de maman que tu connais, est une pied noire. Un jour avec maman elles sont venues Ă  parler de De Gaulle. Maman elle voyait le libĂ©rateur de la France et Simone trĂšs dure dans ses propos, De Gaulle traite etc
. Avec les accords d’Evian. Ils se sont senti rejetĂ©s par leur propre nation. J’imagine le choc doublĂ© du dĂ©chirement de quitter sa terre natale comme des mal propres. William par son livre transmet trĂšs bien ces sentiments. Bravo il fallait un grand courage pour se replonger dans ces annĂ©es terribles. Minouche Le 19/06 Messenger Bonjour William, merci pour tes Ă©crits car ils berceront ma retraite, l’écriture d’une vie est une affaire de choix et de relecture continuelle, le plus difficile semble ētre ce choix constant du dĂ©but jusqu’à la fin, aprĂšs ton Ă©crit doit vivre sa vie. Guy-Pierre Le 17/06 SMS Wahooooo! Tu es parti bien loin dans le passĂ©, toute mes connais maintenant les nom et prĂ©nom de mon arriĂšre, arriĂšre grand pĂšre, Juan Alonzo, et mon arriĂšre grand pĂšre, c est Gumersindo. Exact?Quant Ă  la mĂ©nagĂšre dans son Ă©crin rouge, je n’ y aurais jamais pensĂ©. Pour info, j ai dĂ©jĂ  versĂ© quelques Le 16/06 SMS Je suis en train de lire La mĂ©nagĂšre rouge » c’est bien Ă©crit et l’auteur sait bien faire ressentir les situations Ă  son lecteur. Quelquefois c’est un peu difficile de comprendre ce qui se passe – le plan n’ est pas clair. NĂ©anmoins, j’ai hĂąte de finir pour savoir comment se sont passĂ©s certains Ă©vĂšnements terribles. On en parle trĂšs peu en France il faudra que le tabou tombe et libĂšre la parole. Il est temps les gens du peuple ont souffert des 2 cĂŽtĂ©s. C’ est ça la guerre. Moi aussi ma vie a, de façon indirecte, Ă©tĂ© modifiĂ©e par ce conflit. Je vous raconterai comment. Bises Michelle. Le 13/06 MessengerJe viens de terminer ton livre. J’aimerais tant savoir mettre par Ă©crit l’histoire de mes parents. J’ai retrouvĂ© avec plaisir tonton sauveur et tata Antoinette. Et j’ai appris Ă  connaĂźtre l’Histoire des Alonso. C’est cette partie lĂ  de la famille qui nous est commune. Merci. Dominique Le 10/06 FB William Carrulla, par contre lĂ  je m’adresse Ă  l’auteur Merci pour ce bijou de livre
il retrace les origines de mes anciens morts et vivants
 C’est une diamant
 Le 10/06 Messenger Bon ben j’ai achetĂ© le livre, plus cas, premier livre depuis longtemps, tu vas peu ĂȘtre me rĂ©concilier avec la lecture. Sandrine Le 9/06 FB J’ai pris beaucoup de plaisir Ă  lire la mĂ©nagĂšre rouge et Ă  retrouver tata Antoinette et tonton Sauveur ». Des souvenirs d’enfance du cĂŽtĂ© de Marseille car moi je ne suis pas nĂ©e Ă  Oran me sont revenus. merci beaucoup pour ce moment de nostalgie. MichĂšle Le 6/06 Messenger Nous avons achetĂ©Ì ton livre bravo pour cette belle Ă©criture nous avons Ă©tĂ© trĂšs touchĂ©s Ă©mouvant et facile Ă  lire nos fĂ©licitations bisous et peut-ĂȘtre Ă  bientĂŽt j’espĂšre. Huguette et Claude Le 6/06 FB Bonjour William, je l’ai terminĂ©. Ça n’a pas dĂ» ĂȘtre tout rose lors de cette pĂ©riode. Je suis de 62, j’en ai toujours entendu parlĂ©. Avec le livre je comprends pas une dĂ©dicace Ă  l’occasion ? Bon week-end. Philippe Le 5/06 Messenger Bravo bravo Tu vois vraiment nous avons eu la mĂȘme enfance les mĂȘmes jeux tes souvenirs de quartier sont les miens j’avais l’impression d’ĂȘtre Ă  tes cotĂ©s dans les rues de la marine ce que tu as vĂ©cu dans cette maison riccio je l’ai vĂ©cu dans la maison du plateau de la marine avec moins de voisins mais tout aussi Ă©mouvant tu as rĂ©ussi Ă  me faire pleurer dans l’épisode de la mĂšre Achard ton Ă©criture est belle et trĂšs touchante j’espĂšre te rencontrer il me faut une jolie dĂ©dicace Ă  bientĂŽt biz Josiane Le 5/06 Messenger William bonjour, Je viens de terminer la lecture de la MĂ©nagĂšre Rouge 
 J’ai pris beaucoup de plaisir Ă  te lire , pour plusieurs raisons . Nous avons le mĂȘme Ăąge, sommes PN, avons Ă  peu prĂšs les mĂȘmes origines, et avons donc vĂ©cu les mĂȘmes Ă©vĂ©nements entre 1954 et 1962 ! Merci Ă  toi. Ton expression des dĂ©tails m’a enchantĂ© 
 😂 Raymond Le 5/06 Messenger Bonjour William, oui je dĂ©sire une dĂ©dicace, merci Ă  toi pour cet Ă©crit plein de maestria et de sensibilitĂ©, bises Guy-Pierre Le 3/06 carte postale Cher William, C’est avec grand plaisir que j’ai lu ton livre et je viens de le finir. Que de souvenirs ! J’ai bien connu ta maman, ton papa et toi, gamin. J’ai 83 ans et j’ai quittĂ©e la maison Riccio en 59 pour me marier avec Norbert G, fils du boulanger. Merci et bravo. Je t’embrasse ainsi que tous les tiens. Marcelle Le 29 /05 Messenger Ton livre me suit mĂȘme en bord de mer. Je viens de le commencer. J’en suis aux tristes Ă©vĂ©nements de 62. Tous les exodes se ressemblent. PoussĂ©es par la pauvretĂ©Ì, les dictatures ou autre, ces familles sont marquĂ©es Ă  vie et ce malheur se transmet de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration comme un bagage. Myriam Le 25/05Ă©mail William bonjour J’ai pratiquement fini ton Ɠuvre dont tu peux ĂȘtre fier, pratiquement parce que hier je l’ai prĂȘtĂ© Ă  mon pĂšre Manuel RICCIO, neveu du propriĂ©taire pour qu’il le lise ! Mon pĂšre 100 ans en octobre prochain. Je te fĂ©licite pour ce que tu nous as offert mais particuliĂšrement pour les passages concernant l’immigration de nos ancĂȘtres espagnols leur vie, leur dĂ©part de nuit sur les balancelles et leur arrivĂ©e Ă  Oran. La description de la ville Ă  cette Ă©poque est du grand art. Je te fais la pub auprĂšs de mes amis. Il ne te reste plus qu’à m’envoyer une dĂ©dicace que je ne scannerai pas et imprimerai pour la mettre dans mon livre. À bientĂŽt AmitiĂ©s Je remercie mon cousin du Canada de m’avoir adressĂ© ton avis de recherche
drĂŽle la vie parfois ! Maryvonne Le 24/05 blog Bonjour William Je suis de Mostaganem j’ai commandĂ© ton livre en attendant une question la maison RICCIO c’était de Mosta ou d’Oran RICCIO c’était mon oncle je m’appelle GILBERT Le 24/05 blog Bonjour William, Je viens de terminer la lecture de ton roman. J’imagine le volume de travail qui a Ă©tĂ© nĂ©cessaire Ă  la production de cet ouvrage ! De belles descriptions, des informations intĂ©ressantes sur les Ă©vĂ©nements de ces pĂ©riodes difficiles de notre Histoire. En revanche, pour une meilleure comprĂ©hension des liens entre les diffĂ©rents protagonistes, la reprĂ©sentation sous forme d’un arbre gĂ©nĂ©alogique m’aurait bien aidĂ©e. Bravo Ă  toi ! Nadine Le 20/05 lettre Cher William, J’ai eu le plaisir de recevoir ton livre aujourd’hui ; c’est mon frĂšre qui nous l’a offert
Je suis impatiente de le lire et de faire un grand pas en arriĂšre
Merci pour ton petit mot. Je me souviens trĂšs bien de toi tout petit, c’st trĂšs loin mais les pensĂ©es restent gravĂ©es dans nos mĂ©moires
 Nous vivons une pĂ©riode angoissante en ce moment ; donc prenez soin de vous, soyez prudents, bonne santĂ©. Reçois de gros bisous avec toute mon amitiĂ©. Mary-Jane. Le 17/05 Blog Bravo William ! Tu as menĂ© ce beau projet Ă  son terme ! Au plaisir de dĂ©couvrir ce livreNadiĂšge gegM.
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